Football

Communiqué de presse

 

L’affaire des quotas :

Une bonne publicité pour Safia !

 

 

Réponse à l'intervention de Safia Ibrahim-Otokoré, vice présidente PS de la région Bourgogne en charge du sport, dans Gazette info du 2 MAI dernier

Que nous cache t-on derrière cette affaire des quotas qui n’a « d’affaire » que le nom… ? A la base de la dite « affaire » un simple graphique, une étude de marché pourrait-on dire banale comme on en trouve dans toutes les entreprises ou associations.

 La Fédération Française de Football s’interroge : « Comment faire pour éduquer, former et faire jouer ici en France les jeunes espoirs du football et les conserver dans nos équipes ? ». Il ne me semble pas discriminatoire de se poser ces questions.

Mme OTOKORE, sans cesse à l’affût de petites histoires pouvant alimenter sa « boutique anti-raciste » nous démontre ici son incapacité notoire à analyser les faits, demandant purement et simplement la « démission de Laurent Blanc »… N’est-ce pas à la Ministre des Sports après enquête d’en décider ? Mme OTOKORE aurait-elle été promue Ministre des Sports ?

Les dirigeants de la F.F.F. se sont enfin rendus compte que l’argent investi dans les centres de formations de football (provenant en partie des impôts des Bourguignons, nous sommes bien d’accord Mme OTOKORE) devrait être mieux employés, éviter que de jeunes footballeurs brillants, possédant la double nationalité ne viennent en France que pour bénéficier des structures attrayantes et repartent exercer leur talent dans d’autres pays.

La F.F.F. prend conscience d’un problème, s’interroge sur le meilleur moyen d’utiliser les fonds publics rien de choquant vraiment, les contribuables ne lui en voudront pas !

Dès que l’on parle de « quotas » Mme OTOKORE dit : « lepénisation des esprits ». Y aurait-il des bons et des mauvais quotas ? Mme AUBRY n’a-t-elle pas exigé 20 % de socialistes venus de la diversité pour diriger le parti socialiste ? Mme LAUVERGEON (AREVA) n’a-t-elle pas promis qu’elle n’embauchera plus de « mâles blancs » dans son état major ?

Comme vous le dites Mme OTOKORE il est urgent de ne pas « lâcher, d’être présent », le FRONT NATIONAL a bien compris ce message. 

 

Edouard Ferrand