Européennes

Louis Aliot, candidat du «Non à Bruxelles», en campagne à Albi

Publié le 17/05/2014 à 03:50, Mis à jour le 17/05/2014 à 08:03

Élection européenne

De gauche à droite, Edouard Ferrand (n°3), Jean-Paul Piloz (secrétaire départemental du FN81), Louis Aliot(n°1) et Joëlle Melin (n°2) sur la liste du FN pour les élections européennes dans le Sud-ouest./ Photo DDM,M.L

Hier à l'hôtel Saint-Antoine à Albi, Jean-Paul Piloz, secrétaire départemental du Font national du Tarn et les élus municipaux FN élus dans le département aux dernières municipales accueillaient Louis Aliot, tête de liste FN pour le Sud-Ouest aux élections européennes du 25 mai prochain.

Fort des résultats de son parti aux récentes municipales (20 conseillers élus dans le Tarn), comme «soubassement de l'élection européenne», l'actuel conseiller régional de Languedoc-Roussillon et vice-président du Front national mise sur 4 élus sur la région Sud Ouest et évoque sans détours l'arrivée en tête de son parti à l'issue du scrutin européen en France, devant l'UMP, pronostiquant une «deuxième gifle» pour le PS après celle des municipales.

«Nous sommes les seuls à parler de notre identité… il va falloir revenir à des décisions nationales» déclare d'emblée Louis Aliot, dénonçant «l'immigration sauvage non maîtrisée» par certains états de l'union européenne.

Sortir de l'euro

Réclamant l'ouverture d'un débat sur «la sortie de l'euro», dénonçant «beaucoup de mensonges sur l'Europe», Louis Aliot a évoqué, citant Marine Le Pen, «une union soviétique européenne… une Europe qu'il faut briser».