" Le 18 mars dernier, les Vroulons ont appris avec stupéfaction que leur village de 450 habitants accueillerait 150 demandeurs d'asile dans l'ancien lycée professionnel transformé en CADA. Les habitants ont largement démontré leur hostilité au projet, les élus de la commune et de celles environnantes également ; les élus du Front national leur apportent tout leur soutien.
C'est un coup terrible porté à ce village : le premier effet de l'arrivée de ces migrants sera le départ d'un certain nombre d'habitants, craignant à juste titre que la tranquillité qu'ils étaient venus chercher à Verosvres soit perturbée. À Calais, un patron de bar affirmait au cours d'un reportage diffusé sur France 2 qu'il appelait les forces de l'ordre 5 à 6 fois par jour pour régler des problèmes avec les migrants, souvent violents.
À Calais se sont ainsi développés, dans la jungle, des trafics en tous genres, générateurs de violences. Ces migrants inadaptés à nos modes de vie, le gouvernement cherche à les dispatcher sur le territoire français : mais nous ne sommes pas la poubelle de Calais ! En outre à Verosvres, les migrants une fois installés représenteraient 25% de la population, ce n'est évidemment pas tenable !
Après les événements de Cologne qui ont vu des centaines de femmes se faire agresser, après les attentats de Paris auxquels ont participé 3 migrants, alors que l'Etat islamique a clairement indiqué avoir infiltré les flux de migrants de ses combattants et qu'Europol estime que 3000 à 5000 djihadistes y sont déjà parvenus, la politique d'accueil est dangereuse, elle doit être combattue avec force.
Précisons enfin quelques points, pour ceux qui de bonne foi croient qu'il s'agit de venir en aide à des persécutés venus d'ailleurs : ces "demandeurs d'asile" sont dans 74% des cas déboutés de leurs demandes, ce ne sont donc pas, en général, de vrais demandeurs d'asile, mais des migrants économiques. Par ailleurs, sur ces 74% de faux demandeurs d'asile, seuls 6,8% quittent le territoire français quand ils y sont obligés par la justice ! Ces chiffres, incontestables, sont issus d'un rapport de la Cour des Comptes.
La politique de l'asile coûte 2 milliards d'euros par an. Les Français seront donc heureux de voir les moyens déployés pour accueillir les migrants, au moment où sont annoncés (et ce n'est qu'un exemple parmi beaucoup d'autres malheureusement) 3 milliards d'économies dans les hôpitaux via 16.000 suppressions de lits et des postes de personnels soignants en moins.
J'encourage donc les maires de Verosvres et des communes environnantes à convoquer un référendum citoyen sur la question de l'ouverture du CADA : pour trancher les conflits, la démocratie locale et l'appel au peuple sont toujours des réponses pertinentes ".
Antoine Chudzik, conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté, Responsable FN pour le Charolais-Brionnais.
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