Autriche

Mort d'un grand Monsieur : Otto de Habsbourg

« En plus d'être une langue splendide, le français est la plus proche du latin. Il est regrettable que le français ne soit plus la langue diplomatique. Elle était la garantie d'une diplomatie claire et juste, par sa précision... ». L'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, né Franz Josef Otto Robert Maria Anton Karl Max Heinrich Sixtus Xavier Félix René Ludwig Gaetano Pius Ignazius von Habsburg-Lothringen le 20 novembre 1912 à Reichenau an der Rax1, décédé le 4 juillet 2011 à Pöcking en Bavière, est le fils aîné de Charles Ier, dernier empereur d'Autriche et dernier roi de Hongrie et de Bohême, et de l'impératrice, née princesse Zita de Bourbon-Parme. Il s'agit du descendant de la maison impériale qui régna sur l'Autriche de 1282 à 1918 dont le nom de Habsbourg vient du nom Habichtsburg, le « château de l'Épervier » dans le canton suisse d'Argovie.

 

 

 

Anticommuniste

 

Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, Otto fut l'un des plus fervents résistants et le sauveur de l'Autriche, puisqu’il l’empêcha de tomber sous le joug soviétique. « La couleur du marxisme, ce n'est pas le rouge, c'est le gris des cadavres » déclarait-il. Malgré cela, les Habsbourg-Lorraine durent continuer à s’exiler jusque dans les années 1960, lorsque Otto renonça à ses prétentions au Trône. Il fit alors plusieurs voyages en Autriche. Depuis la fin de la Guerre ; il habita en Allemagne à la frontière avec l'Autriche, dans la petite ville de Pöcking. Membre de la Ligue anti-communiste mondiale de Suzanne Labin, il déclara « Mon plus grand bonheur a été la disparition des systèmes collectivistes en Hongrie et dans les autres pays d'Europe, une joie que je n'aurais jamais espéré connaître ». Otto de Habsbourg fait partie également du comité de parrainage du Cercle Renaissance de Michel de Rostolan, ancien député du Front national.

 

 

La Lorraine

 

Otto de Habsbourg est demeuré très attaché à la Lorraine, sentimentalement et symboliquement. Cet attachement passe par la conservation du nom de « Lorraine » à la suite de son nom « de Habsbourg », et par des visites régulières en Lorraine, notamment à Nancy pour son mariage, ses noces d'or et pour la restauration du Château de Lunéville. Il porte d'ailleurs le titre de Duc de Bar.

 

 

Attachement à la messe en latin

 

" Notre continent est celui de la culture, celui de l'Esprit. Nos villes ne sont pas dominées par des banques ou des prisons, mais par des cathédrales ». Cette espérance, Otto la fondait sur une foi chrétienne indéracinable. Car son souci politique possédait, avant tout, une dimension spirituelle : « Vous savez, le bon Dieu ne nous demande pas de lui ramener des victoires. Il nous demande simplement que nous fassions de notre mieux. C’est lui qui donne les victoires. Avoir cette foi, c’est la force et le calme intérieur d’une vie entière ». L'urne contenant le coeur d'Otto Habsbourg-Lorraine, fils du dernier empereur d'Autriche-Hongrie, Charles Ier, a été déposée dimanche soir dans l'abbaye bénédictine de Pannonhalma, 130 kilomètres à l'ouest de Budapest.

 

 

 

 

 

Benoît XVI

 

Le Pape a adressé le message suivant à la famille Habsbourg-Lorraine pour son décès :

 

A son Altesse royale l’Archiduc Charles d'Autriche.

 

"Avec une profonde sympathie j'ai pris connaissance du décès de Votre père Son Altesse Impériale et Royale l’Archiduc Otto von Habsbourg. En cet instant de deuil sur cette perte douloureuse je m’unis à Vous et à toute la famille impériale dans la prière pour le défunt. Pendant sa vie longue et remplie l’Archiduc Otto est devenu un témoin de l’histoire souvent changeante de l’Europe. En responsabilité devant Dieu et en connaissance de son patrimoine important il s’est engagé en grand Européen sans relâche pour la paix et la vie commune entre les peuples et un ordre juste sur ce continent. Que Dieu le Seigneur le récompense amplement pour son activité multiple pour le bien de l’homme et qu’Il lui donne la vie en plénitude en son Royaume céleste. Sur l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, j’accorde aux membres de famille et à tous qui portent le deuil pour l’Archiduc Otto et prient pour son salut éternel, de tout cœur la Bénédiction Apostolique". 

Bourgogne

BOURGUIGNONS, OUVREZ LES YEUX !

 

La majorité de gauche qui préside au conseil régional prétend conduire une politique en faveur des jeunes en soutenant  l’emploi. Certes, le chômage qui touche près de 110 000 personnes en Bourgogne et notamment des jeunes nous préoccupe tous ; mais, comment régler concrètement ce problème en négligent de regarder la réalité en face.

 La voici : Plus de 9000 jeunes formés en Bourgogne quittent chaque année notre région fuyant le chômage et le manque de perspectives professionnelles.

Dans le même temps 9762 personnes immigrées et clandestines ont été régularisées dans nos quatre départements au cours de l’année 2010 par les services préfectoraux qui exécutent les consignes du gouvernement UMP.

Entrées illégalement en France ,12 000 à 14 000 personnes affluent ainsi chaque année en Bourgogne, en espérant leur  régularisation rapide.

Cela coûte cher aux Bourguignons notamment en terme de prestations sociales soit environ 240 millions d’euros par an.

Bien entendu ! Gauche et droite confondues souhaitent que cette politique  «  immigrationiste » perdure. Les uns attendent en effet une clientèle électorale et les autres, avec  le MEDEF espèrent que cette population immigrée se transformera en main d’œuvre bon marché.

 La communication sur la politique de la région en faveur des jeunes et donc un leurre.

Il  est temps de mettre un terme à ces dérives politiques irresponsables en redonnant à l’Etat de Droit toute sa place, et à la préférence nationale toute sa légitimité.

C’est alors que la jeunesse en Bourgogne pourra envisager avec confiance son avenir.

 

                                                        Christian LAUNAY.

                                                        Conseiller Régional 

                                                Vice –Président du groupe Front National

 

Double nationalité

Le 16 juillet 2011

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

« Contre la double nationalité »

 

 

La candidature à l’élection présidentielle française de la franco-norvégienne Eva Joly, née en Norvège, est une aberration politique. Par comparaison, l'article II de la Constitution américaine et les amendements qui s'y rattachent fixent les critères d'éligibilité pour le président et le vice-président : pour être éligible à l'élection présidentielle américaine, il faut notamment être citoyen des Etats-Unis à la naissance. De plus, on s'assimile plus facilement à une nation lorsqu'on fait l'effort de renoncer à la nationalité de sa première patrie. C'est une décision difficile, bien sûr, incompréhensible peut-être pour les élites mondialisées, mais c'est surtout un acte magnifique, qui laisse envisager une parfaite assimilation à la nation française.

 

Sur un autre plan, Eva Joly est en retraite de la fonction publique depuis 2006. Mais d’une manière plus large, le cas Eva Joly met en lumière un sacré dilemme : comment peut-on agir en fonctionnaire de l'Etat de façon éthique, impartiale et responsable et se présenter aux différentes élections politiques ? Il convient de respecter la séparation des pouvoirs ; la fonction de candidat à une élection semble incompatible avec la fonction publique. Pratiquement dans toutes les démocraties du monde, l'exercice de la fonction publique et de la fonction politique est constitutionnellement incompatible ! Au travers de cette confusion des genres, politiciens et hauts fonctionnaires ne sont que les deux parties d’une même caste qui a mené la France aux déficits abyssaux que l’on connaît aujourd’hui et que nous allons léguer aux générations futures.

 

Tant qu’un fonctionnaire, national ou territorial pourra, à son gré, exercer un mandat sans avoir à démissionner, puis retourner dans son corps d’origine après son aventure politique, la France restera cette machine infernale aux mains de ceux, qui, prétendant la servir, pense en réalité qu’à se servir !

 

Edouard Ferrand

Président du Groupe Front national au Conseil régional de Bourgogne

 

 

La belle prise de Sarkozy

Le 30 juin 2011

 

Communiqué de presse

«  Un appétit dévorant »

 Il en rêvait… Pour avoir rompu avec François Bayrou, François Sauvadet n’avait qu’une seule ambition : devenir ministre de Nicolas Sarkozy. Et bien c’est fait ! L’actuel président du conseil général de Côte d'or, 1^er adjoint au Maire de Vitteaux et président de la communauté de communes du canton de Vitteaux, continue sa longue ascension.

 

La nomination de François Sauvadet montre surtout l'urgence qu'il y a à légiférer sur le cumul des mandats pour une bonne gouvernance loin des conflits d’intérêts.

 

 

Edouard Ferrand

Président du Groupe Front national au Conseil régional de Bourgogne

Gaspillage

1^er juillet 2011

 

COMMUNIQUE DE PRESE

 

 

« Gaspillage »

 

 

En 2011, la région Bourgogne a prévu de dépenser près de 3 millions d’euros en communication. Il s’agit d’une somme astronomique destinée notamment à faire connaître son action auprès de ses administrés. De plus, la région Bourgogne a prévu de verser aussi pour cette année près de 2 millions d’euros pour des actions de solidarité internationale : voyages, « aide humanitaire », lutte contre les discriminations…

 

À l’heure où les Bourguignons sont touchés par la crise et que 1 Bourguignon sur 2 ne partira pas en vacances, il est temps d’investir l’argent des contribuables bourguignons dans des projets en Bourgogne pour la Bourgogne.

 

Edouard Ferrand

Président du groupe FN au conseil régional de Bourgogne