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31/01/2016

Milan réunion publique extraordinaire


18:49 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Halte à la destruction des églises ! Récit du combat d'un prêtre

[Cet article a été publié par Présent du 31/12/2015]
Une destruction d’église en plein Paris, à laquelle s’opposent des catholiques et des gens attachés au patrimoine religieux, avec le secours d’un prêtre : il n’en faut pas plus pour faire naître sur les réseaux sociaux une polémique reprise dans une certaine presse. L’abbé Guillaume de Tanoüarn, qui célèbre actuellement le dimanche à Sainte-Rita dans le XVe arrondissement de Paris, resitue le combat mené dans sa vérité.
— Monsieur l’abbé, vous célébrez en ce moment le dimanche, dans le rite traditionnel catholique bien évidemment, en l’église Sainte-Rita rue François-Bonvin à Paris (XVe). Depuis combien de temps et… pour combien de temps ?
— Je célèbre depuis quelques semaines – quand on aime, on ne compte pas ! Mais je suis arrivé un peu après la bataille, puisque cette église devait être détruite. Le promoteur ayant obtenu la promesse de vente a voulu la faire abattre par une société de démolition en passant en force. C’est le maire du XVe, Philippe Goujon, qui a empêché, au nom de la loi, la démolition de s’effectuer.
 
Pour combien de temps ? Je ne sais pas. La meilleure façon de défendre une église est de la faire vivre. J’ai reçu une demande de la part de l’association Communauté chrétienne Sainte-Rita du XVe, association de jeunes catholiques qui ne pouvaient pas supporter la perspective de la destruction d’une église en plein Paris, à l’heure où l’on construit tant de mosquées, et cela pour des raisons purement financières, comme si la primauté du spirituel n’existait plus dans notre société et dans une ville qu’on appelle « la ville lumière », notre chère capitale. Pour combien de temps ? Cela dépendra de la motivation des habitants du XVe et même des Parisiens en général, qui sont venus pour l’instant par le simple bouche-à-oreille. Cela dépendra aussi d’une campagne de levée de fonds que nous prévoyons pour mars-avril 2016, qui permettrait à l’association de sauver l’église en la rachetant à son propriétaire actuel.
 
Dans tout cela, je me veux personnellement au service d’un bâtiment en péril et d’une communauté catholique romaine qui s’est spontanément créée et qui, après le départ des gallicans et voulant sauver Sainte-Rita, était en quelque sorte en déshérence.
— Comment vous êtes-vous démarqué de vos prédécesseurs de « l’Eglise catholique gallicane » ? Ne craignez-vous pas un « amalgame », pour employer un mot à la mode ?
— Pas du tout ! Les gallicans sont partis, ils ont jeté l’éponge, et c’est parce qu’ils sont partis que j’ai accepté l’offre de laïcs qui avaient besoin d’un prêtre pour que cette église continue à vivre et ne soit pas détruite. Il n’y a aucune ambiguïté sur la forme catholique romaine de la liturgie célébrée à Sainte-Rita du XVe.
— L’assistance à Sainte-Rita, en plein après-midi du dimanche, est-elle nombreuse?
— Je dis la messe à 16 heures, car c’est le seul créneau libre de ma journée du dimanche. Il est bien évident que je continue à célébrer la messe au Centre Saint-Paul, et à prêcher le matin et le soir. A ma grande surprise, cet horaire décalé ne faisant concurrence à personne satisfait plus que je ne m’y attendais la demande pratique d’un certain nombre de fidèles, et nous avons à la messe, pour l’instant, sans autre publicité que celle des réseaux sociaux, entre 60 et 120 personnes, selon les dimanches.
— Avez-vous pu déceler qui venait à Sainte-Rita entendre la messe?
— Parmi les gens qui viennent, il y a d’abord d’anciens paroissiens qui, plus que des gallicans, sont des propriétaires de chiens ou de chats ! Existent aussi ceux que j’appelle amicalement les « zadistes » [occupants d’une « zone à défendre », ndlr] ; quelques chrétiens parmi les zadistes, mais aussi des incroyants ou des musulmans, qui se sont trouvés là début octobre et qui, assurant une permanence sur les lieux, rendent un service signalé à la cause de Sainte-Rita. Se trouvent enfin des catholiques du XVe et d’autres venant de plus loin. J’ai reçu hier un courriel d’une Québécoise qui m’encourageait en me disant sa douleur devant toutes les destructions d’églises, en particulier au Canada francophone, depuis 20 ans.
— Cette église n’a aucun lien avec l’évêché?
— Le maire du XVe m’a garanti que l’église n’intéressait pas directement l’évêché. Par ailleurs, à Sainte-Rita, nous sommes, comme dit le pape François, aux marges de l’Eglise. Pour aller aux marges, il faut parfois – je le dis de tout mon embonpoint – des chevau-légers. C’est dans cette perspective que je me situe, pas du tout pour faire un Saint-Nicolas du Chardonnet bis – Saint-Nicolas est là, et bien là –, pas du tout non plus dans une perspective d’opposition d’autel à autel. Mais pour protéger un bâtiment chrétien qui a tout d’une église en plein Paris, et parce qu’on n’a pas le droit de laisser accomplir sa destruction sans rien tenter.
— Vous avez célébré une messe de minuit. Quel succès a-t-elle eu?
— Ce fut une belle messe de minuit, avec soliste, orgue et chants de Noël populaires, qui s’est déroulée en même temps que la messe de minuit au Centre Saint-Paul, bien sûr. Pas question de déshabiller Paul pour habiller Pierre, ou le contraire !
— Quels sont les obstacles que vous rencontrez?
— Pour l’instant, avant tout une campagne de diabolisation débile, née dans un street press et reprise dans les quotidiens gratuits en mal de copie. Dans cette campagne, on accuse ceux qui logent en permanence dans l’église pour la défendre d’être issus de l’extrême droite. Il suffit de les rencontrer pour constater la taille exceptionnelle de ce nouveau bobard de guerre ! En réalité, ce qui est touchant, c’est que, parmi ces zadistes, beaucoup ne sont chrétiens que de souvenir, ou se disent même incroyants. Mais ils refusent cette logique du profit au nom de laquelle on détruit une église pour construire des appartements et des logements sociaux. Si le profit est notre seul critère, toutes nos églises, à cette aune, sont en danger.
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Propos recueillis par Anne Le Pape
Eglise Sainte-Rita, 27 rue François-Bonvin 75 015 Paris, métro Ségur, Cambronne, Sèvres-Lecourbe ou Volontaires.

12:40 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

30/01/2016

Saint-Vincent tournante à Irancy dans l'Yonne

m_100_100_crop_150109145951_st-vicnent-patron-des-vignerons.jpg100 000 personnes attendues cette fin de semaine

Fête à caractère local, apparue au Moyen Âge puis relancée avec la naissance des sociétés de secours mutuel de chaque village viticole de Bourgogne (*), la Saint-Vincent (en déclin au début du XIXe siècle avec la laïcisation de la société) amorce sa mue. En conviant le public à venir déguster le vin de la commune organisatrice, elle se rend populaire. Sans omettre de préserver ses composantes traditionnelles : la procession des confréries, l’office religieux en l’honneur de saint Vincent, le banquet.

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18:02 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Milan 28 janvier 2016

"Une nouvelle Europe est née à Milan"


L'Europe fédéraliste et mondialiste du Traité de Rome est morte, vive l'Europe des Nations et des Libertés de Milan ! La réunion de l'Europe des Nations et des Libertés organisée le 28 janvier à Milan s'est soldée par un très grand succès. Huit partis nationaux européens autour de Marine Le Pen et de Matteo Salvini avaient répondu à l'appel, 1500 personnes, 150 journalistes accrédités, montrant qu'une solution alternative à l'Union européenne, pour une Europe des Nations et des Libertés, est déjà en marche. Plus libre et plus forte, cette nouvelle Europe voulue par les peuples sera la seule capable de répondre à tous les défis résultant de la politique catastrophique de Bruxelles : la faillite de l'euro, le décrochage économique, la submersion migratoire, l'inversion des valeurs.


14:09 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Assemblée nationale Rome

Edouard Ferrand, chef de la Délégation française des députés FN/RBM du groupe Europe des Nations au Parlement européen, s'est rendu au Palais Montecitoro, siège de la Chambre des députés à Rome. Il y a  rencontré MM Fedriga et Centinaio, respectivement présidents des groupes parlementaires de la Ligue Nord à la Chambre des députés et au Sénat. L'entretien a essentiellement porté sur les moyens de redonner la primauté législative à nos parlements nationaux face aux menées de la technocratie européenne. En France comme en Italie, des initiatives communes menées par les mouvements nationaux, la Ligue Nord et le Front national, renforcent la reprise du pouvoir par les peuples européens pour la défense de leurs intérêts vitaux. CZvJMXYWEAAWVEV.jpg

10:13 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Amitié franco-serbe

Edouard Ferrand chef de la Délégation FN/RBM au Parlement européen a été recu d'une manière officielle en République Serbe de Bosnie le dimanche 24 janvier 2016. Il s'est entretenu durant quarante cinq minutes avec le président Dodik. La nation serbe de Bosnie est un peuple non soumis aux oukases de la communauté internationale. Seule nation à vivre en paix avec ses différentes communautés religieuses et culturelles, cette république est néanmoins menacée. Menacée par la remise en question des accords de Dayton, menacée par l'installation de foyers djihadistes chez sa voisine la Fédération de Bosnie, menacée d'être la nouvelle victime après le Kosovo. Le Président Dodik a exprimé son souhait de se rendre à Paris rencontrer Madame Le Pen et d'unir son parti politique à celui du Front national. Petit rappel. Le 9 janvier 1992, l'Assemblée serbe de Bosnie déclare la création de la « République des Serbes de Bosnie-et-Herzégovine ». La République serbe de Bosnie est avec la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine une des deux entités qui composent la Bosnie-Herzégovine.  Milorad Dodik est président de la République serbe de Bosnie. Il milite pour la défense des intérêts vitaux des Serbes de Bosnie.

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10:11 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

22/01/2016

Bourgogne actualité politique

Sophie Montel : "François Sauvadet doit démissionner de son mandat de député"

Sophie Montel ©Alexane Alfaro - cliquez sur l'image pour agrandir
 

A la veille de la prochaine session plénière du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui aura lieu jeudi 21 janvier 2016 à Dijon, Sophie Montel (FN), conseillère régionale, a déclaré que François Sauvadet (UDI-LR), également conseiller régional et président du conseil départemental de Côte d’Or, devrait "démissionner de son mandat de député" suite à ses déclarations durant la campagne des élections régionales. 

Après le muséoparc d'Alésia et la "mauvaise" gestion de la Côte d'Or, Sophie Montel s'attaque de nouveau à François Sauvadet. Selon elle, "les conseillers régionaux en situation de cumul ne sont pas contraints de respecter la loi les obligeant à renoncer à l’un ou plusieurs de leurs mandats. Autrement dit : le temps que soient validées les élections, François Sauvadet pourrait conserver tous ses mandats, donc celui de député".

"Il doit arrêter de traîner des pieds"

Pour Sophie Montel, François Sauvadet aurait déclaré en septembre 2015 "qu’être député ne sert plus à rien". "Ce serait faire preuve de la part de M. Sauvadet d’une filouterie que l’on a peine à croire possible chez lui : en effet, à partir de juin 2016, il ne lui sera plus possible de démissionner de son mandat – les élections législatives partielles étant interdites à partir de cette date. Or il est à peu près acquis que les élections régionales n’auront pas été définitivement validées à ce moment-là…" 

La présidente du FN Bourgogne Franche-Comté a également ajouté, que "M. Sauvadet doit donc arrêter de traîner des pieds et démissionner de son mandat de député si il ne veut pas démontrer son mépris aux électeurs."

(Communiqué)

11:03 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

19/01/2016

La France est-elle encore maître de son destin ?

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11:06 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

17/01/2016

Lycées de Bourgogne

Y aura t-il des administrateurs Front national dans les lycées de Bourgogne ?

Honte à vous hommes de gauche, calculateurs politiciens et anti-démocrates. Avec près d'un tiers des suffrages et un quart des élus, la logique voudrait que les conseillers Front national soient associés à la gestion des 170 lycées de la nouvelle région Bourgogne Franche-Comté. Et bien la gauche envisage d'écarter les élus FN des conseils d'administration des lycées.... Mais attention, nous n’avons pas dit le dernier mot : cette décision s'expose à un recours devant le tribunal administratif qui a toutes les chances de nous être favorable. 
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17:23 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Il y a 50 ans !


1966/2016 : durant le tournage de La grande vadrouille en Bourgogne, Louis de Funès et Bourvil vont déguster du vin dans une cave de Meursault.

17:10 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)