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30/06/2016
L'amitié franco-anglaise une constante jamais démentie
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29/06/2016
Discours de Marine à Bruxelles sur le Brexit
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26/06/2016
Beaujolais vendredi
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23/06/2016
Auxerre
Gilbert Collard : "On ne se rend pas compte de la gravité de la situation"
"On se rend pas compte de la gravité de la situation du pays", a lancé Gilbert Collard, déplorant "un pouvoir qui n'a plus de pouvoir" dans "une France en loque, ensanglantée, en guenille, déchiquetée et elle est là sous vos yeux".
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Edouard Ferrand dénonce une Europe sans frontières
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19/06/2016
Le Bien public, Côte d'Or
En Côte-d'Or, le FN se prépare pour la présidentielle et les législatives
Par Rosalie Lafarge, France Bleu BourgogneDimanche 19 juin 2016 à 15:32
Le vice-président du Front National était à Dijon ce dimanche, aux côtés d'Edouard Cavin, secrétaire départemental du FN en Côte-d'Or, et de Sophie Montel, député européenne et conseillère régionale de Bourgogne-Franche-Comté pour discuter de la présidentielle et des législatives de 2017.
Le Front National se met en marche pour les deux rendez-vous de 2017 : la présidentielle et les législatives. Le parti d'extrême-droite se prépare, et prépare également ses candidats aux législatives. Pour cela, Florian Philippot, vice-président de la formation, fait le tour de France. Il était ce dimanche à Dijon, avec Sophie Montel, député européenne et conseillère régionale de Bourgogne-Franche-Comté et Edouard Cavin, secrétaire départemental du FN en Côte-d'Or.
La présidentielle
Le FN, qui se revendique premier parti de France, ne compte pas passer à côté des deux prochains grands rendez-vous électoraux. Pour la présidentielle, ce sera évidemment Marine le Pen la candidate. Et Florian Philippot se réjouit de l'annonce d'une primaire à gauche. "C'est le signe d'une faiblesse, analyse le vice-président frontiste, pour la première fois, le président sortant n'a pas la légitimité suffisante pour être le candidat naturel de son camp. On a donc 14 candidats chez Les Républicains, une primaire à gauche, alors que nous, on a une candidate légitime et naturelle, c'est une chance. On peut se concentrer sur le projet pendant que les autres vont batailler entre petits chefs".
Les législatives
Pour les législatives, le Front National estime que, ce qui lui a fait défaut aux élections précédentes, c'est sûrement le fait que les candidats frontistes sont souvent peu connus du grand public. Alors cette fois, pour se donner le maximum de chance, le parti a un peu changé sa façon de faire. "Le Front a fait le choix d'inverser les choses, explique Florian Philippot, avant il commençait tôt la présidentielle et tard, trop tard, les législatives". Du coup, le numéro deux du parti estime que, le 14 juillet, le Front National aura investi quasiment ses 577 candidats. "L'objectif, poursuit Florian Philippot, c'est pour tous ceux qui ne sont pas encore connus d'avoir le temps de se faire connaître, et la différence par rapport à 2012, c'est qu'on a quand même beaucoup d'élus locaux".
La fusion Bourgogne Franche-Comté
Les trois Frontistes ont aussi profité de cette réunion pour aborder l'actualité. Régionale pour Sophie Montel qui a évoqué la question de la répartition des institutions entre Dijon et Besançon au sein du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. La présidente du Conseil régional veut installer le siège à Besançon, et confirmer Dijon comme chef-lieu. Ce sera soumis au vote en séance plénière vendredi 24 juin.
"Dijon a déjà récupéré la préfecture régionale, insiste Sophie Montel, donc il était logique que dans cette fusion, la ville de Besançon ne soit pas complètement déplumée. C'est, certes symbolique, mais ce qui m'intéresse, c'est qu'il y a des services importants qui restent à Besançon, notamment le service lycée-formation professionnelle, et économie-emploi. Et puis Dijon ne sera pas lésée puisqu'elle garde les transports, le sport, l'aménagement du territoire, l'agriculture, la culture... des services importants. Cela nous paraît équitable, le groupe FN votera donc de manière unie".
Le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne
Enfin, Florian Philippot a voulu rappeler à quel point la semaine s'annonçait cruciale au Royaume-Uni, avec ce référendum jeudi sur la volonté des Britanniques de rester ou non dans l'Union Européenne. "C'est un drame, a rappelé le vice-président du FN, évoquant le meurtre de la député pro-européenne, mais c'est un drame qui n'a rien à voir avec la campagne. Les Britanniques savent qu'ils auront une occasion historique de voter, pas deux et que les grands enjeux sont là : frontières, souveraineté, liberté. Ils ont cette chance de pouvoir voter, nous ne l'avons pas en France, mais je crois qu'il y a un vrai printemps des peuples d'Europe face au totalitarisme de l'Union Européenne" a-t-il estimé, promettant de regarder de près les résultats de ce référendum.
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Beaujolais vendredi
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Mercredi Auxerre
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Edouard Ferrand à Vienne en Autriche pour le printemps des nations
Norbert Hofer né le 2 mars 1971, fils d'un élu municipal conservateur grandit dans le Burgenland, la province la moins prospère d'Autriche, non loin de la frontière hongroise. Il y devient responsable régional du FPÖ dès 1996. Il est aujourd'hui vice-président du parlement autrichien. Mais c'est finalement l'écologiste qui a, contre toute attente, remporté l'élection présidentielle le mois dernier avec 50,3% des suffrages, totalisant 31.026 voix d'avance sur Norbert Hofer, qui a rassemblé 49,7% des suffrages. Le FPÖ n’a pas de mots assez durs pour qualifier le système autrichien des votes par correspondance, qui a offert la victoire à Alexander Van der Bellen, alors que ceux qui se sont déplacés pour aller voter ont majoritairement donné leur voix au FPÖ.
Le ministère de l’intérieur a déjà chargé le parquet anticorruption d’analyser les irrégularités potentiellement observées dans six localités. Mais Heinz-Christian Strache, président du FPÖ a, lui, collecté plus de 150 pages de documents prouvant, selon lui, que dans un pays aussi démocratique que l’Autriche, les électeurs avaient été dupés.
Seule la Cour constitutionnelle peut organiser de nouvelles élections ou ordonner un recompte total des voix. Elle doit rendre ses conclusions au plus tard le 6 juillet, soit deux jours avant l’intronisation d’Alexander Van der Bellen à la présidence de la République. Suspens !
Edouard Ferrand et Nobert Hofer vendredi dernier à la réunion publique de Marine et HC Strache
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09/06/2016
Dimanche dans la Nièvre
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