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29/07/2013
Tempête en Bourgogne
Le 29 juillet 2013
Communiqué de presse
“La Solidarité bourguignonne face aux intempéries”
“La nature en tout temps garde ses premiers droits”. Mardi 23 juillet, vers 15 h 15, un violent orage accompagné de grêle et de fortes rafales de vent a provoqué d’importants dégâts dans les vignes sur la côte de Beaune et ses prestigieux vignobles. 1.350 hectares de vignes ont été touchés, soit 5% de la surface totale du vignoble bourguignon composé de 27.000 hectares. Dans les vignes les dégâts sont considérables, les pertes de récolte oscillent entre 20 % dans les zones les moins touchées et 90 % dans les secteurs les plus atteints. Samedi et dimanche, une nouvelle vague orageuse a touché la Bourgogne... De fortes rafales voir des tornades ont été enregistrées pendant la nuit : 137 km/h à Châtillon-sur-Seine, 118 à Tonnerre, 100 à Prémery et Avallon, 93 à Nevers et Auxerre. De nombreux foyers sont aujourd’hui privés d'électricité soit environ 3 000. Face à ce nouveau coup de vent, les habitants sont inquiets pour des raisons professionnelles ou financières.
Le groupe Front national exprime sa solidarité aux viticulteurs et tout particulièrement aux victimes des violentes intempéries. Il demande la mobilisation des crédits d’action sanitaire et sociale des collectivités pour accorder des secours auprès des familles ou des personnes en difficultés.
Edouard Ferrand, Christiane Colas, Josette Romualdo, Rémy Boursot, Marcel Stéphan, Christian Launay
10:46 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
24/07/2013
Toxiques
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Le 24 juillet 2013
“François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, rattrapé par le scandale DEXIA !”
François Rebsamen, ancien administrateur de Dexia a t-il une responsabilité dans les défaillances de la banque ? La cour des comptes vient de publier un rapport édifiant sur la banque Dexia, ex-banque des collectivités locales. La banque a eu un conseil d'administration incompétent, une stratégie défaillante et une action néfaste sur les collectivités locales "infectées" par les emprunts dits "toxiques". Tel est l’incroyable réquisitoire contre les anciens dirigeants de la banque Dexia qu'a dressé la Cour des comptes la semaine dernière. Reconnu comme étant un “élu expert des finances publiques”, le sénateur-maire de Dijon a siégé au conseil d’administration de la banque franco-belge Dexia. François Rebsamen, avec d'autres élus locaux UMP ou socialistes, a notamment touché 20 000 euros de jetons de présence en 2007 en tant qu'administrateur de Dexia, soit 44 fois le revenu minimum d'insertion. La belle vie pour l’ancien trotskiste de la LCR sans produire aucune valeur ajoutée. Pour l’instant, la débâcle de cette banque a coûté 6,6 milliards d’euros aux contribuables français et la perte de 900 emplois sans indemnités dont 250 en France...
Edouard Ferrand
Président du groupe Front national conseil régional de Bourgogne
09:39 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
22/07/2013
Belgique
"Je jure d'observer la Constitution et les lois du peuple belge, de maintenir l'indépendance nationale et l'intégrité du territoire", a solennellement déclaré Philippe en néerlandais, français et allemand, les trois langues nationales, devenant officiellement à 53 ans le nouveau chef de l'Etat. "Je succède aujourd'hui à six autres rois dont mon père le roi Albert", a poursuivi Philippe.
10:04 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
21/07/2013
Municipales 2014 Dijon
Edouard Cavin, candidat FN à la mairie de Dijon.
Né à Chenôve, le jeune homme est donc âgé de 23 ans. Collégien à Marcelle Pardé puis lycéen à Notre Dame, il a suivi des études à Lille, puis en Angleterre. Titulaire d’un diplôme d’économie gestion et administration, il a été embauché par son père en tant que directeur commercial. Charles Cavin dirige en effet une entreprise de tonnellerie, à Poiseul-la-Ville–Laperrière, non loin de Saint-Seine-L’Abbaye.
Célibataire, il est candidat à une élection pour la première fois a officiellement adhéré au FN il y a un et demi, à son retour d’Angleterre.
19:02 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
19/07/2013
UMP...
17:26 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
11/07/2013
Dijon
Le Bien public 11 juillet 2013
Ce mercredi après-midi, de part en part de la petite rue Chambellan, près d’une trentaine de policiers ont été mobilisés pour éviter tout débordement en marge de l’inauguration du nouveau local de campagne du Front national. Une centaine de personnes appartenant à la coordination antifasciste de côte-d’Or ont manifesté de la place Darcy à la rue Jacques-Cellerier, l’accès à la rue Chambellan ayant été bloquée par les forces de l’ordre.
Si aucun heurt majeur n’a été relevé, la tension était palpable hier soir. Pour mémoire, l’extrême gauche du département défile régulièrement dans les rues dijonnaises depuis la mort de Clément Méric le 5 juin dernier à Paris lors d’une rixe. Dans les rangs des manifestants, on retrouvait, outre des libertaires et des anarchistes, quelques membres du NPA et du Front de gauche, et notamment du Parti de gauche, sans oublier quelques militants du syndicat Solidaires 21.
Interrogé sur cette forte présence policière et sur le mouvement antifa, Louis Aliot s’est déclaré « surpris ». Et d’observer : « C’est une liberté que de manifester. Mais quand je vois la violence des attaques, je dis “les chiens aboient et le Front national passe”. »
Pendant près de deux heures, le cortège de manifestants a emprunté les différentes rues du quartier, pour revenir à l’une des entrées de la rue Chambellan, scandant quelques slogans et anathèmes pour dénoncer « les propos haineux » du Front national.
09:25 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
08/07/2013
Verdun
Voyage à Verdun de 45 bourguignons dimanche 7 juillet 2013. Après 2 h 00 d'autocar, pause apéro sur l'autoroute.
Symbole du champ de bataille de Verdun, l’Ossuaire de Douaumont est une oeuvre privée, fondée par l'évêque de Verdun Monseigneur Ginisty avec l'aide du Général Valantin et Madame de Polignac, veuve de guerre pour donner une sépulture aux soldats non identifiés tombés sur le champ de bataille. Nous y avons fait un dépôt de gerbe et sonné la sonnerie aux morts pour nos glorieux ancêtres.
Fort de Vaux, situé à 8 kms à Vaux-devant-Damloup, près de Verdun, fut construit de 1881 à 1884. Au cours de la Première Guerre mondiale, Vaux devient le symbole du poilu poussant son sens du devoir jusqu'à l'ultime sacrifice. Il est défendu par une petite garnison dirigée par le commandant Raynal. C'est un ouvrage sans armement dont la tourelle de 75 mm avait explosé dès février 1916 suite au minage des forts (un obus allemand tombant près de la tourelle mit le feu aux mèches des charges de démolitions). Le 6 mars 1916, les Allemands attaquent ; le village tombe le 2 avril, mais le fort tient. Du 2 au 7 juin 1916, grâce à l'héroïsme du commandant Raynal et de sa garnison, le fort résiste à la 50ème division allemande. Après de très durs combats, il est débordé au Nord-Ouest et les Allemands coiffent les superstructures.
Visite passionnant du fort avec un excellent conférencier. Superbe journée à 28 %, très bien reçu chez nos amis restaurateurs du centre-ville de Verdun. A refaire !!!
10:15 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
05/07/2013
L'Yonne républicaine
Ferrand (FN) sur le marché couvert : "Les commerçants sont les parents pauvres de Sens"
Invité politique, EDOUARD FERRAND de l'Yonne républicaine 5 juillet 2013, photo florian salesse - SALESSE Florian
Secrétaire départemental du Front National, conseiller régional, Edouard Ferrand est à nouveau candidat aux municipales à Sens. Il affirme ne pas vouloir tirer avantage de la démission du maire.
Que pense Edouard Ferrand du retrait de l'immunité parlementaire de Marine LePen ? Et des dissensions sur la rénovation du marché couvert de Sens ?
Entretien réalisé par Pascale de Souza et Olivier Richard.
Dans L'Yonne républicaine, retrouvez également un entretiien vidéo d'Edouard Ferrand ce vendredi 5 juillet 2013.
13:18 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
01/07/2013
Forian Philippot dimanche 30 juin à Dijon
Florian Philippot (FN) : « Pour un patriotisme intelligent »
Florian Phillippot, le vice-président du Front National, souhaite remettre en cause les accords de Schengen, et milite pour davantage de protectionnisme.
GazetteINFO.fr : Les licenciements économiques se multiplient en France…
(Il coupe) Depuis plus d’un an en France, une usine ferme tous les jours, ou presque ! Le chômage explose, et c’est notamment pour faire face à cette crise d’une gravité extrême que nous préconisons un patriotisme économique intelligent à nos frontières. Cela passe notamment par une remise en cause des accords de Schengen. Cela se pratique dans d’autres pays. Il faut que l’Etat et son administration achètent prioritairement des produits français. Ne nous trompons pas : ce n’est pas les entreprises du CAC qui créent majoritairement des emplois, mais les PME et le PMI. La France est également un pays en voie de désindustrialisation.
Une implosion sociale est-elle à craindre ?
Bien sûr. On a tout de même l’impression que la classe moyenne française est de plus en plus menacée. Et tout le monde sait que si la classe moyenne d’un pays disparaît, c’est un signe évident de sous-développement. Le problème, c’est que la fiscalité qui frappe les classes moyennes est injuste. Il faut absolument revenir à une fiscalité plus raisonnable.
« Nous voulons une Europe qui protège ses peuples »
La crise qui a frappé l’UMP ces derniers mois a-t-elle été bénéfique au Front National ?
Il y a eu au mois de janvier 2013 davantage d’inscription qu’à la même époque il y a un an, alors que nous étions dans une année d’élection présidentielle. 2012 avait déjà été une excellente année. Il est évident que le Front National s’enracine dans le pays. Ses idées séduisent un français sur trois. Et puis, il y a une vie locale au Front National. Les militants sont actifs sur le terrain. Je fais très régulièrement le tour des fédérations avec Marine Le Pen, notre présidente, ou avec des cadres du parti. Lors de nos réunions, il y a souvent 200 à 300 personnes, qui représentent tous les profils, toutes les classes sociales. Des personnes qui souvent ont longtemps voté pour l’UMP ou le Parti Socialiste, et qui se sont senties à un moment ou à un autre grugées.
Comment analysez-vous la poussée en Europe des partis de droite nationale ?
C’est effectivement le cas dans de nombreux pays, comme le Royaume-Uni, l’Autriche, la Suède, le Danemark, la Finlande ou encore les Pays-Bas. Les peuples tentent de briser les chaînes imposées par les élites. Marine Le Pen rencontre régulièrement les dirigeants des parties amis. Cela engendre une véritable synergie. Nous partageons avec eux de nombreuses idées. Nous voulons une autre Europe, mieux acceptée, plus efficace. Nous constatons en France une véritable dérive vers plus de libéralisme dans les services publics, ce qui est vraiment très inquiétant. Nous voulons une Europe qui protège ses
peuples.
20:23 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)