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25/09/2010

Auxerre

 

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Viol à Auxerre en centre ville
 
Tous les politiques nous ressassent que tout va bien, hors, les derniers évènements sur Auxerre prouvent le contraire. ( incendie criminel, guet-apens contre la police et maintenant viol en centre ville)
Pour une petite ville tranquille, on pourrait mieux faire. Une fois de plus, c’est l’ensemble de la classe politique qui n’a pas pris conscience de la gravité de la situation concernant l’insécurité. Ce viol à Auxerre, en centre ville, est une honte pour tous les Auxerrois, nous ne méritions pas ça, l’insécurité progresse, et elle sera de plus en plus violente.
Arrêtons la guerre aux automobilistes et mobilisons l’ensemble des forces de l’ordre, ainsi que l’appareillage judiciaire avec les moyens nécessaires, pour lutter efficacement contre l’insécurité.
Auxerrois, il est encore temps de rejoindre le Front National, la peur doit changer de camp.
A titre personnel, concernant les violeurs récidivistes ou pas, lorsque les charges sont irréfutables, l’application de la castration, mais pas la castration chimique à base de médicaments, non, castration physique et  
efficace , moins coûteuse pour la collectivité, doit s’appliquer.
Pour que nos filles et nos femmes soient protégées, il faut une politique ferme et courageuse pour éradiquer ce fléau, nos filles et nos femmes ne sont pas des produits de consommation à la merci de ces ordures
 
Richard Jacob
Conseiller municipal FN Auxerre.  
    

22:00 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

22/09/2010

J'avais un camarade...

In memoriam

 

Mercredi 22 Septembre 2010

 

vassieuxAprès de longs mois de souffrance où il fit preuve d’un courage et d’une ténacité admirable devant la maladie, Jacques Vassieux nous a quittés.

Cet amoureux de la vie aura lutté jusqu’au bout, refusant de baisser les bras et affrontant cette terrible épreuve avec dignité.

Ce militant infatigable de la cause nationale, qui aura été de tous les combats depuis 1984, date à laquelle il a rejoint le Front national, n’a jamais lâché devant l’adversité.

Il fut un responsable politique et un élu exemplaire, animé d’une conviction sincère et d’un patriotisme ardent.

Ce n’est pas qu’un soldat politique qui part mais aussi un ami.

Dans ces moments douloureux, toutes mes pensées accompagnent sa famille et ses proches qui l’ont soutenu et entouré avec amour et compassion.

Marine Le Pen


Brève nécrologie :

Responsable national de L’observatoire et riposte Internet du FN

 

Co-directeur de la publication de Nations Presse Magazine

 

Fondateur de Nations Presse Info

 

Secrétaire départemental du Front national de Savoie

 

Membre du Conseil national

 

Flamme d’Honneur du FN

 


Conseiller régional de Rhône-Alpes

 

Ancien Conseiller municipal de Meythet


Né le 15 février 1951 à Bône (Algérie Française), il épouse une Savoyarde dès son service militaire achevé au 13ème Régiment de Dragons Parachutistes à Dieuze. Père de deux enfants et grand-père d'une petite-fille, il entre très jeune dans la vie active, et fonde son entreprise de constructions à l’âge de 25 ans. Il dirigera ensuite un cabinet immobilier, et sera un expert reconnu en matière d’urbanisme et de construction.


En 1983, il se lance en politique sous les couleurs de l’URDF (Union pour le Respect et le Droit des Français), association dont il est le Président fondateur, et mènera une liste aux élections municipales de Meythet.


Il rejoindra le Front National et Jean-marie LE PEN dès 1984. Engagé très tôt dans l’action publique, il sera Secrétaire du canton d’Annecy Nord-ouest, puis responsable de la 1ère Circonscription de Haute-Savoie. En 1997, il devient Secrétaire départemental adjoint, et seconde Dominique Martin au Bureau de la fédération départementale de Haute-Savoie. C’est au printemps 2004 que le Bureau politique du FN le nommera Secrétaire départemental de la Savoie.


JacquesVassieux sera le candidat du Front national aux élections municipales de 1989, 1995 et 2001, aux élections cantonales de 1988, 1992, 1998 et 2004, aux élections régionales de 92, 98, 2004 et 2010, et aux élections législatives de 1993, 1997, 2002 et 2007. En 1989 il fera son entrée au conseil municipal de Meythet, et sera réélu en 1995. Il sera élu Conseiller régional de Rhône-Alpes en 1998, réélu en 2004 et 2010.


En 1996, Jean-Marie LE PEN le décorera de la Flamme d’Honneur, plus haute distinction du Front national, pour son engagement sans faille et sa fidélité.


Parallèlement à une vie professionnelle bien remplie, il s’est consacré pleinement à l’action publique où il fera, à de nombreuses reprises, preuve de son dynamisme et de ses compétences techniques unanimement reconnus. Homme de terrain et d’expérience, il connaissait parfaitement les problèmes que peuvent rencontrer les élus locaux dans l’exercice de leur mandat.


Sa devise: « La défaite d’un juste vaut mieux que la victoire d’un tyran. »

 

Et priez pour lui !

 

Edouard Ferrand

21:33 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

19/09/2010

Marine Le Pen en campagne à Chalon !


Marine Le Pen en campagne à Chalon
envoyé par leJSL. - L'actualité du moment en vidéo.

Marine Le Pen était présente à Chalon , samedi soir pour un dîner en présence de 180 militants du Front National. L'actuelle vice-présidente du mouvement présidé par son père, parcourt ainsi les fédérations régionales pour une campagne à la fois interne au FN mais aussi nationale. La fille de Jean-Marie Le Pen est en effet en course pour la présidence du FN dont l'éléction est prévue les 16 et 17 janvier prochain à Tours mais elle entame en parallèle sa campagne en vue des élections présidentielles de 2012.

Dans cette interview vidéo, Marine Le Pen revient sur cette double campagne et sur les polémiques qui ont agité l'actualité ces dernières semaines, les Roms, le virage sécuritaire de la politique du gouvernement...

12/09/2010

Hommage

 

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jeudi 9 septembre 2010

Des hommes comme des dieux

Le film de Xavier Beauvois pourrait être le récit d’un fait divers et l’enquête sur les responsables du meurtre des sept moines de Tibhirine. En réalité, c’est beaucoup plus que cela : un voyage vers les limites supérieures de l’humain, en ce point mystérieux où l’homme, s’oubliant lui-même devient un dieu.

Faire un film sur l’assassinat des sept moines du monastère Notre Dame de l’Atlas à Tibhirine, cela paraissait une gageure. Voilà un sujet exclusivement religieux, sans aucun suspense parce que l’on sait tous comment l’histoire se termine et où la vie quotidienne selon le rythme monastique laisse peu de place à l’action… Que restait-il alors à Xavier Beauvois ? L’image et la lumière. Ce film - grand prix du jury du Festival de Cannes - est d’abord un hommage rendu à la puissance de l’image. Image des paysages ; images de la vie quotidienne au Maghreb ; mais d’abord image des visages. Le casting a été d’une étonnante justesse. Je ne veux pas dire que les neuf hommes choisis ont tous les neuf une tête de moine. Il était facile pour Beauvois de tomber dans le documentaire et de céder à la facilité de la caricature. Mais ce qu’il filme ce n’est pas un événement (sur lequel d’ailleurs on n’a pas encore fait toute la lumière puisque l’on ne connaît pas avec certitude les commanditaires du massacre), c’est une aventure intérieure. Le cinéaste, on le sent traque longuement la lumière intérieure qui habite chacun de ces hommes. Ce qu’il nous montre, c’est avant tout cette lumière, que chacun porte en soi et qu’il passe sa vie à chercher. Après une première alerte en 1993, on peut dire que pendant trois ans les moines sont chacun devant leur propre mort. Autrefois on imaginait les ascètes, comme saint Jérôme ou sainte Madeleine, toujours un crâne humain à portée de la main. Eux n’ont pas besoin du crâne d’un autre. Leur vie, ils le savent, ne tient qu’à un fil. Ils ne peuvent, au milieu des travaux et des jours, que s’efforcer de ressembler au visage que Dieu dans son éternité leur a donné une fois pour toutes. Cette formule peut paraître emphatique… En réalité, au jour le jour, nous assistons à une quête, où chacun traverse sa peur et accepte petit à petit son destin, jusqu’au dernier repas, sommet iconographique du film, où la certitude de la mort offerte habite les moines. La caméra s’attarde sur eux, comme pour rendre plus éclatante la lumière de leurs visages. La musique du Lac des cygnes résonne dans le réfectoire comme une apothéose. Le temps a suspendu son vol. Selon l’amphibologie du titre de ce film, ces hommes sont devenus des dieux, libres de leur destin. Ils ont chacun consenti à leur fragilité d’homme. Ils l’ont offerte ce soir-là en une sorte d’offertoire muet. En surmontant la peur, ils ont transsubstantié leur destin pour en faire un destin de fils de Dieu, à l’image du Christ.
  
Deux personnages sont particulièrement mis en valeur : le Père Christian et le frère Luc. Ces deux personnages, tout devrait les séparer. L’un est un intellectuel qui parle arabe et qui est dévoré de curiosité face à l’islam. Prieur de la petite communauté, c’est le rejeton d’une famille d’aristocrates. Il a spontanément le sens et le goût du commandement. Il en impose, même au GIA. On sent qu’il vit à une certaine distance des autres. Il pourrait passer pour un mystique. L’autre est un plébéien, celui qui, en tant que médecin, soignant jusqu’à 150 personnes par jour, indifféremment des gens du peuple ou des terroristes, possède une profonde connaissance du cœur humain. Il est tellement pris par son métier, qu’il n’a pas eu le temps de devenir prêtre. Il ne prie pas à la chapelle avec les autres. Son cabinet est ouvert à toute demande. Ce n’est pas l’islam qui l’intéresse, ce sont les gens, quels qu’ils soient. On apprend qu’il a soigné des nazis pendant la guerre. Si différents soient-ils, ces deux personnages, Lambert Wilson, littéralement habité et Michael Lonsdale, qui trouve certainement à plus de 80 ans l’un de ses rôles les plus forts au cinéma, ont l’un et l’autre, dès le début de cette histoire, la même opinion. Il faut rester quoi qu’il en coûte. « Partir, c’est mourir » dit le frère Luc. « Notre vie est déjà donnée » répète simplement le Père Christian.
  
Ces deux hommes, chacun à leur manière, sont les modèles de la Communauté. Ils sont devenus des dieux. C’est ce qui leur donne l’autorité, l’aura, l’ascendant qui émane d’eux. Rien à voir avec un rapport de force. Le vieux frère Luc trouve le moyen de rabrouer l’un de ses ravisseurs parce qu’ils s’empare de médicaments réservés aux enfants. Quant au Père Christian, en 1993, il obtient du chef de bande du GIA qu’il quitte le monastère avec ses hommes en armes. Le vieux seigneur de la guerre, barbe en avant, mitraillette au poing, partira sans coup férir quand le Père Prieur lui aura expliqué que le Christ est le Prince de la paix. Christian de Chergé l’aura vaincu sans armes. 

C’est de cette autorité sans rapport de force que le spectateur gardera le souvenir – l’autorité de l’esprit qui fait les dieux. Curieux film que l’on présente comme donnant à voir « un christianisme gentil, humble et compréhensif », mais qui en même temps repose tout entier sur l’autorité tranquille de Luc et de Christian, deux géants antimodernes, qui ont eu la force, durant plusieurs années, de défier le terrorisme, l’islamisme et la prudence de ce monde, représentée par les responsables de l’administration et de la police locale. Ultime victoire des moines : personne n’ose revendiquer cet attentat sinistre, GIA et gouvernement algérien se renvoyant l’initiative des sept meurtres. Quant au film, il a été tourné au Maroc, l’Algérie refusant toujours de regarder en face ce monstrueux attentat.

 

18:51 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

11/09/2010

Bourgogne

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Grande réunion d'information avec :

 Marine Le Pen

Vice-présidente exécutive du Front national
Député Français au Parlement européen
Présidente du Groupe FN au conseil régional Nord/Pas de Calais
Conseiller municipal d’Hénin-Beaumont

Dans le cadre de sa tournée nationale pour la présidence du Front national

 

Samedi 18 septembre 2010


19 h 30 Dîner-débat à l’Hôtel MERCURE – 196 Avenue de l’Europe – 71100 CHALON-SUR-SAONE

Contact presse et organisation : Christiane Colas                                                            
Tél. : 06 12 84 64 64
Courriel : colas.guy2@wanadoo.fr

14:56 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

07/09/2010

Nouvelle campagne du Front National : " Sarkozy, la débâcle ! "

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20:23 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

03/09/2010

Edouard Ferrand interrogé par la Gazette de Côte d'Or

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LA GAZETTE : Est-ce vraiment une bonne chose pour le Front national que Nicolas Sarkozy ait tenu un discours sécuritaire cet été ?
Bien sûr ! Le chef de l’État nous fait une publicité formidable, et presque tous les jours.

Que voulez-vous dire ?
Nicolas Sarkozy a été ministre de l’Intérieur, il a été élu en mettant le paquet sur la sécurité – au moins dans son discours – et que s’est-il passé depuis ? L’insécurité progresse.

Pourtant, les chiffres affirment le contraire… D’accord, tout le monde a compris qu’ils sont bidons, mais c’était juste pour dire…
Les chiffres sont trafiqués. Comment peut-on lutter efficacement contre l’insécurité en réduisant les effectifs de police et de gendarmerie comme le fait Sarkozy ? Il tient un discours ferme, donne l’impression de donner un tour de vis sécuritaire, mais il ne va pas refaire le coup aux Français qui ont bien compris qu’il n’est que dans la communication et l’agitation !

En 2007, il avait pourtant siphonné une partie de l’électorat frontiste…
Oui, mais les résultats des dernières élections régionales en mars ont bien prouvé qu’on avait enterré le Front national un peu trop vite. Aujourd’hui, les intentions de vote en notre faveur oscillent entre 12 et 13 %, et nous sommes à presque deux ans du premier tour de l’élection présidentielle. Au train où vont les choses et comme il n’y a pas de raison pour que cela change, cela ne peut qu’augmenter. Il y a des Français qui sont sensibles au discours du Front national, car nous ne mentons pas. Cela fait plus de trente ans que Jean-Marie Le Pen dit que la situation concernant l’immigration et la délinquance est grave. Les faits ne font que lui donner raison. Nicolas Sarkozy ne prend que des mesurettes…

Attardons-nous sur le problème des Roms. Ils sont expulsés – avec une aide au retour – mais personne n’ignore qu’ils vont revenir, puisqu’ils sont européens. Que préconisez-vous face à cette situation ?
Personnellement, je suis favorable au renforcement du rôle de l’État dans le domaine de la défense et de la sécurité. Et avec l’Europe telle qu’elle est aujourd’hui, les contrôles aux frontières n’existent plus, alors qu’il faut les intensifier. Les Roms qui viennent en France ne travaillent pas et vivent dans des conditions très précaires, sont haïs dans leur pays d’origine. Mais ce sont à la Roumanie, à la Bulgarie et à la Hongrie de prendre en charge leurs ressortissants et de les intégrer…

Cela n’a pas empêché le gouvernement roumain de s’inquiéter des expulsions de Roms en dénonçant une dérive xénophobe en France. Alors qu’il les traite pire que des chiens…
La France ne peut plus, ne doit plus accueillir tout le monde. Moi, je discute avec pas mal de gens, et tous ne sont pas des électeurs ou même des sympathisants du Front national. Beaucoup me disent qu’ils en ont marre de cette immigration. Il n’y a qu’à écouter les conversations. Les Français en ont assez que des gens viennent s’installer dans leur pays pour toucher des aides, se faire soigner gratuitement aux frais des contribuables. N’y a-t-il pas assez de nos compatriotes en difficulté ? Il y a une poussée xénophobe en France. Mais l’État se montre trop laxiste en terme d’immigration et de sécurité, deux thèmes qui font partie des principales préoccupations des Français. Et moins il y a de policiers et de gendarmes, plus les gens vont être tentés de s’armer et de se défendre eux-mêmes.

Parmi les « mesurettes » de Sarko, figure la déchéance de la nationalité française pour les délinquants qui s’en prendraient par exemple à des policiers. La déchéance de la nationalité fait pourtant partie des revendications frontistes, non ?
Nous allons même plus loin, puisque dans certains cas, nous demandons qu’outre la déchéance de la nationalité, le délinquant soit condamné puis expulsé vers son pays d’origine. La nationalité française se mérite. Il y a également la solution de frapper les délinquants et leurs familles au niveau du portefeuille.

Le lien entre immigration et délinquance est-il aussi évident que Nicolas Sarkozy veut bien l’affirmer ?
Après la seconde guerre mondiale, l’immigration était essentiellement maghrébine. Pour ces gens – souvent kabyles ou berbères – seul le fait de travailler était important. Ils n’étaient pas islamisés, et ils respectaient notre pays. Les générations suivantes se sont parfois lancées dans le grand banditisme, et plus particulièrement le trafic de drogue. À Grenoble, la mort de ce braqueur abattu par la police – alors qu’il venait de tirer sur elle – a menacé toute cette économie souterraine. Les policiers sont devenus les rivaux de ces trafiquants. Il faut savoir qu’aujourd’hui, la principale mission des ex-Renseignements Généraux est de surveiller et d’infiltrer les cités. Les gens qui regardent la télévision ou lisent les journaux ne sont pas dupes : quand ils voient des émeutes dans les cités ou quand il y a des reportages sur des trafics de drogue, ils identifient sans problème qui sont les délinquants. Malgré les capuches…

La gauche a fait savoir qu’elle était en désaccord avec les mesures sécuritaires du chef de l’État…
Cela ne m’étonne pas. Sur les questions de sécurité et d’immigration, le Parti socialiste n’a par exemple jamais été crédible, à quelques exceptions près, comme Manuel Valls par exemple. Si nous en sommes là aujourd’hui, les socialistes ont une grosse part de responsabilité.

Croyez-vous en l’hypothèse plus ou moins  évoquée selon laquelle Nicolas Sarkozy réfléchirait à faire entrer Marine Le Pen au gouvernement ?
Mais je suis persuadé que Sarkozy n’attend que ça ! Mais pas elle… Elle sait très bien qu’entrer dans ce gouvernement signerait sa mort politique ! Elle est jeune, elle a du talent et elle peut aspirer à devenir un jour chef de l’État. Pourquoi irait-elle se perdre chez Sarkozy ?



16:59 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)