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12/02/2011

Cantonales 2011

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L'Yonne républicaine

AUXERRE
POLITIQUE CANTONALES  
SAMEDI 12 FÉVRIER 2011 

Jean-Marie Rolland refuse le dialogue

 

Le premier débat télévisé organisé par France 3 Bourgogne et votre quotidien dans le cadre des cantonales s'est déroulé en l'absence du président sortant du conseil général.

Enregistrée jeudi après-midi dans les locaux auxerrois de l'Yonne républicaine (*), l'émission a rassemblé Jean-Yves Caullet (PS-Verts), Edouard Ferrand (Front national) et Alain Raymont (l'Autre gauche en Bourgogne). Tous trois ont vivement déploré le refus de débattre de Jean-Marie Rolland (UMP-UAY). Ce dernier ayant estimé, dans nos colonnes, que son bilan à la tête du conseil général était « excellent », Jean-Yves Caullet a répliqué en mettant en avant un « doublement de la dette départementale et une marge de manoeuvre du conseil général divisée par deux ».

Parlant lui d'un « bilan déplorable », Edouard Ferrand a dénoncé la hausse continue des impôts à chaque vote du budget, un « poids de la dette représentant 452 ? par habitant » et un « taux de chômage dans l'Yonne supérieur de 10 % au taux de chômage moyen en Bourgogne ». Pour sa part, Alain Raymont a pointé les 12,5 % d'Icaunais vivant sous le seuil de pauvreté.

Sur la partie programme, Jean-Yves Caullet a indiqué qu'il convenait d'abord de « dire la vérité sur la situation du département », puis de définir des priorités. Parmi celles-ci : « une véritable politique d'aménagement du territoire », passant par un renforcement des services publics. « Emploi, logement, sécurité » : pour Edouard Ferrand, c'est ce triptyque qu'il convient de mettre en oeuvre. En faisant jouer, antienne du FN, la préférence nationale. Un programme qualifié de « xénophobe » par Alain Raymont qui entend, lui, amplifier la politique sociale du département. Une politique sociale qui, pour Jean-Yves Caullet doit « être activée vers le développement ». Au-delà de leurs divergences, les trois hommes sont tombés d'accord sur un point : les cantonales seront un test national pour le pouvoir. n

Philippe Noireaux

 

17:21 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

11/02/2011

Auxerre magazine

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Les Auxerrois en souffrance

Combien d’Auxerrois vivent seuls ? Absence de relations familiales ou amicales, de réseaux professionnels ou associatifs. Cette souffrance liée à la solitude est due majoritairement aux conditions de travail, aux revenus insuffisants, aux pertes  d’emplois.

 Plus rien à ce jour ne les sépare, ils sont les Auxerrois de la précarité. Quand vont-ils arriver ces emplois tant attendus ? Les Auxerrois ne demandent pas l’aumône, ils veulent simplement retrouver la fierté de travailler.

 Pour cela, une vraie politique économique et sociale doit être menée, une cellule de crise « emploi » doit être sur le terrain, et en relation directe avec les repreneurs ou créateurs d’entreprises. Seul l’emploi pourra freiner le déclin de notre ville. Un chômage fortement en hausse, des licenciements, des entreprises souhaitant partir, quel avenir ?

 L’attractivité touristique d’Auxerre ne pourra  combler ces pertes d’emplois.

 Il est urgent pour Auxerre de mener une politique forte et dynamique pour, non seulement sauver nos emplois, mais surtout, en créer massivement avant qu’il ne soit trop tard.

 Cette question de l’emploi est au cœur de l’actualité locale, je réaffirme que l’équipe municipale en place ne met pas le paquet !

 Au moment où la crise persiste, nos salariés rencontrent de grandes difficultés, la question n’est plus de savoir ce que nous devons faire, il faut tout faire pour enrayer cette hémorragie d’emploi, mettre les moyens sur la table pour que de nouveaux emplois soient créés !

 Cette nécessité absolue est au cœur des préoccupations des Auxerrois, la liste FN Auxerre Emploi Sécurité est votre premier soutien.

 

 

Richard Jacob

Conseiller Municipal FN d'Auxerre

Membre du Comité central

08:19 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

10/02/2011

Elections cantonales Yonne



Je vous informe que je serai l'invité de l'émission "'La voix est libre” sur France 3 Bourgogne ce samedi 12 février de 11 h 30 à 12 h 00. Ce sera un duel contre Alain Raymond extrême gauche et Jean-Yves Caullet maire PS d'Avallon. Jean-Marie Rolland président UMP du conseil général a décliné l'invitation.

Edouard Ferrand

19:59 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

08/02/2011

Sens (89)

 

 

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Conférence de presse


Edouard Ferrand, secrétaire départemental du Front national de l'Yonne, convie les candidats et les candidats suppléants pour les élections cantonales de l'Yonne

DIMANCHE 13 FEVRIER 2011 à 14 H 00
Salle de la Poterne
21, bd du 14 juillet à Sens
(face à la Caisse Epargne principale)

Contact : 06 15 77 36 18


Verre de l'amitié

 

 

19:53 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

07/02/2011

Cantonales Saône-et-Loire

de Creusot infos

 

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«Ordinairement nous attendons de déposer nos candidatures en Préfecture, mais là on a décidé de faire autrement. De ne pas attendre»… En lançant cela à l’occasion de la présentation des candidats du Front National en Saône-et-Loire, Christian Launay a montré un certain sens politique.
Pour qui a suivi depuis quelques décennies les orchestrations politiques dans le département, mais pas seulement, c’était toujours au dernier moment, juste avant le scrutin qu’étaient dévoilés les noms des candidats du F.N. La plupart d’entre-eux se cachaient même jusqu’aux élections.
Ce n’est donc plus le cas et démonstration en a été faite samedi après-midi à Genouilly, au domicile de Christiane Colas, où Christian Launay a présenté quasiment tous les candidats frontistes ainsi que leurs suppléants. C’est nouveau et c’est sans aucun doute l’affirmation d’un FN décomplexé, avec des candidats tout aussi décomplexés.
Les thématiques de campagne ne seront pas forcément très surprenante. Le FN va sortir l’artillerie qui lui est chère et d’entrée de jeu, le secrétaire départemental du mouvement ne s’est pas gêné pour pointer du doigt, «le vote du PS et de l’UMP qui ont augmenté de 10 à 12,5% des inscrits, le nombre de voix que chaque candidat devra avoir pour se maintenir au deuxième tour». Et Christian Launay de lancer : «C’est une décision politique visant à empêcher le FN d’être au 2e tour. Mais je préviens, ce dernier bidouillage pourrait se retourner contre ses auteurs».
Christian Launay appelle à un sursaut national et s’insurge «contre cette France qui ne marche pas», en qualifiant, par exemple de «gréviculteurs» les dockers marseillais, on en s’élevant contre les suppressions de policiers, de gendarmes ou de CRS.
Concernant le chômage, pour faire simple, Christian Laurnay s’est borné à indiquer, qu’en Saône-et-Loire, il a doublé en 7 ans. Avant de souligner la spectaculaire augmentation des crimes et délits, tout comme le fait que 17% des Saône-et-Loiriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Et de lancer : «La vraie misère, elle est dans nos campagnes».
Reste l’immigration. Sur le sujet, Christian Launay est intarissable… Il avance le chiffre de 3.075 titres de séjour délivrés, met en avant une famille Yougoslave, de 6 enfants, «dont le père est en prison, qui était sous le coup d’une reconduite à la frontière et qui a obtenu un titre de séjour… Tout cela coûte cher et on devrait déposer plainte pour défendre les intérêts du Conseil Général, car socialement, c’est lui qui paye et ce sont donc les contribuables»
Estimant à plus de 50 millions le coût de l’immigration en Saône-et-Loire, Christian Lanay le clame : «C’est de l’argent en moins pour les personnes âgées. Et je le dis, l’UMPS, c’est-à-dire l’UMP et le PS ont conduit la Saône-et-Loire au bord du gouffre». Il veut pour exemple «la dette qui a grimpé de 30 % en deux ans, pour atteindre 380 millions d’euros. Avec tous les intérêts, il faudra bien payer un jour. Et les intérêts de la dette en Saône-et-Loire, c’est 10 millions d’euros par ans».
Face à cela, le FN entend décliner ses propositions, notamment en affirmant «la préférence nationale». Mais pas seulement.

Alain BOLLERY


Les candidates et candidats
Du FN en Saône-et-Loire :

  • Autun nord : Clément Robinet (Charlène Jomard).
  • Beaurepaire : Candidat pas désigné pour l’instant.
  • Chalon nord : Daniel Tanguy  (Christine Philibert).
  • Chalon sud : Benjamin Lematte (Josette Olawinski).
  • La Clayette : Véronique Legrand (Claude Bergeron).
  • Cluny : Cécile Delpuech de Comeiras (Pierre Loire).
  • Cuiseaux : Bruno Veysset  (Geneviève Delaet).
  • Cuisery : Paul Cochet  (Evelyne Jurain).
  • Digoin    : Eric Gronfier  (Isabelle Gardella).
  • Épinac : Diane Boyer  (Bernard Rouillon).
  • Givry : Marie-Amélie Georgy  (Sylvain Marcou).
  • La Guiche : Ghislaine Launay  (Gabriel Guillon).
  • Issy-l’Évêque : Nicole Pellenard  (Max Régnier).
  • Lucenay-l’Évêque : Nicole Duplouy (Patrick Rivas).
  • Lugny : Michèle Lagarde (Pierre Rouillon).
  • Mâcon centre : Morgan Benoit (Marie Launay).
  • Mâcon sud : Michel Grenier (Mireille Seguin).
  • Marcigny : Jean-François James (Léone Manceau).
  • Matour : Guy Colas  (Micheline Humbert).
  • Mesvres : Michel Pelletier (Carole Lambert).
  • Montceau nord : Christian Launay (Jacqueline Régnier).
  • Mont-Saint-Vincent : Christiane Colas (Alain Régnier).
  • Paray-le-Monial : Bernard Préau (Maryline Mutin).
  • Saint-Germain-du-Bois : Yannick Lacroix  (Blanche Sillat).
  • Saint-Germain-du-Plain : Jacqueline Dugue (Marcel Blanchard).
  • Saint-Leger-sous-Beuvray : Pas de candidat désigné pour l’instant.
  • Semur-en-Brionnais : Alain Lagoutte (Colette Debregeas).
  • Sennecey-le-Grand : Christine Nouel De Buzonnière (Philippe Cuinet).

 

19:41 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

05/02/2011

Dijon

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ÉDOUARD FERRAND : « MARINE, C’EST PRESQUE UN TSUNAMI »

02/02/2011 | La Gazette de Côte d'Or n° 234

Un peu plus de deux semaines après l’élection de Marine Le Pen à la tête du Front national, Édouard Ferrand parle de « séisme politique ». Le chef de file frontiste en Bourgogne explique pourquoi il imagine bien la fille de l’ancien chef s’installer à l’Élysée en 2012.

LA GAZETTE : L’arrivée de Marine Le Pen aux commandes du FN continue de faire beaucoup parler… ÉDOUARD FERRAND : C’est un séisme. Presque un tsunami, qui ne concerne pas seulement le FN, mais aussi la vie politique française. Il n’était pas facile de trouver un successeur à Jean-Marie Le Pen, qui est je pense, après le Général de Gaulle, l’homme politique français le plus connu dans le monde.

Une femme à la tête du FN, un parti sévèrement burné et où le culte du chef est essentiel, cela ne risque-t-il pas de heurter une partie de la base ? C’est vrai qu’au FN, c’est un peu un parti de machos (rires). Mais je vous rappelle que nous sommes de grands défenseurs de Jeanne d’Arc…

Vous n’avez rien de plus récent ? C’est notre figure emblématique… Marine a été élue assez largement, au terme d’un duel à la loyale. Aujourd’hui, il y a une vraie évolution au Front national.

Vous voulez dire qu’elle ne sera pas sur la même ligne que son père ? Les fondamentaux restent les mêmes. Mais le style de Marine est différent. Son approche des choses est peut-être moins directe. C’est une femme qui a été élevée à bonne école avec son père. Mais elle a su gravir les échelons. Elle est avocate de formation, elle a été élue députée européenne. Bien sûr, être la fille de Jean-Marie Le Pen n’a pu que lui servir. Mais elle a su s’imposer. Et au FN, on ne fait de cadeau à personne. Elle s’est imposée grâce à sa force de travail, à son caractère et à sa détermination.

On dit qu’elle plaît beaucoup aux médias, qui semblent moins durs avec elle qu’ils ne l’étaient avec son père… J’ai l’impression que les Le Pen fascinent. Ils ne laissent personne indifférent. Dont les médias, qui semblent apprécier les interventions de Marine. Quand elle est invitée à une émission, il se passe quelque chose. Elle n’est pas langue de bois, son propos est direct, elle parle très bien et ses analyses sont pertinentes. On ne s’ennuie jamais. Comme c’était le cas avec son père.

À Tours, son discours semblait s’adresser davantage à un électorat virtuel qu’aux adhérents du FN. Quel était selon vous le fond du message ? Elle a tenu un discours de présidente de la République. Marine a déjà dans sa ligne de mire l’élection de 2012. Les cantonales de mars prochain seront un test très important. Alors, elle doit rassembler et mobiliser, bien au-delà de nos adhérents. Elle veut être la candidate de tous les Français. Son discours était très républicain. On dit d’ailleurs parfois que le FN est le seul vrai parti républicain, puisqu’il défend les intérêts du pays, comme par exemple la loi sur la laïcité. La sociologie de notre parti est plus vaste qu’on ne le croit. 
Les adhérents viennent de tous les milieux, on note un vrai rajeunissement, et nous voyons arriver des gens de la droite traditionnelle, mais aussi des socialistes, et même des communistes.

Marine Le Pen est divorcée, favorable à l’avortement… De quoi effrayer les cathos traditionnalistes, qui représentent une petite part de votre électorat… Ils ne représentent pas la majorité… Notre électorat est disparate, et il faut écouter tout le monde. Le FN n’est pas une secte, nous ne sommes pas tous dans la même case.

Sur certains thèmes, comme la sécurité ou l’immigration, le FN est très à l’aise. En revanche, son programme semble nettement plus flou sur d’autres, comme l’économie par exemple. Il y a là un gros chantier pour Marine Le Pen… En ce qui concerne l’immigration et la sécurité, qui sont nos fondamentaux, Marine va s’inscrire dans les pas de son père. Ce sont ces thèmes qui font la crédibilité du FN. Mais sur le plan économique, nous avons des positions bien précises, comme le retour au franc notamment. Marine Le Pen travaille avec des experts en économie, parce qu’elle souhaite s’entourer de gens compétents. C’est une femme qui maîtrise ses dossiers, qui veut encore apprendre. Elle va participer à l’élection de 2012 pour la gagner, pas pour être présente au second tour.

L’immigration et la sécurité tiendront-elles une place essentielle dans votre programme ? Bien sûr. La délinquance frappe les gens les plus faibles. Ceux qui sont abandonnés par l’État, qui ne fait rien contre les dealers, contre ceux qui pourrissent la vie dans certaines cités. Il y a des Français qui ne se sentent plus chez eux. C’est inadmissible.

Le FN – mais pas seulement – évoque souvent le racisme anti-blanc. N’y aurait-il plus que quelques associations et autres bobos pour croire que le racisme ne marche que dans un sens ? C’est évident. À Sens, des Français d’origine tunisienne m’ont dit qu’ils étaient victimes du racisme de leurs voisins maliens, parce que ces derniers ne veulent voir que des Maliens dans l’immeuble ! Des Français de souche sont victimes du racisme anti-blanc de la part d’étrangers vivant en France, ou de Français d’origine étrangère. Des étrangers parfaitement intégrés sont victimes du racisme d’autres étrangers. Des racistes, il y en a dans toutes les populations, dans toutes les races. Mais moi, ce qui me gêne, c’est que des Français subissent le racisme alors qu’ils sont chez eux !

Nicolas Sarkozy avait promis de sortir « le karcher » pour « nettoyer les cités » des « racailles »… Avez-vous l’impression qu’il a tenu ses promesses ? Pas du tout ! Mais les « racailles » n’ont qu’à bien se tenir ! Si nous arrivons au pouvoir, elles doivent s’attendre à être remises dans le droit chemin. Les délinquants bénéficient la plupart du temps d’une incroyable impunité. Mais cela ne va pas durer longtemps. Il faut que la peur change de camp, que ce soient eux qui aient peur de la police, à qui il faut donner des moyens d’action supplémentaires. Il faut que la justice soit plus ferme et qu’elle bénéficie également de moyens supplémentaires. Nous devons construire des prisons. Plus de 80 000 peines ne sont pas effectuées ! C’est anormal.

Marine Le Pen semble beaucoup déranger la classe politique… Ils vont tout essayer contre elle. Mais cela va finir par se retourner contre ceux qui vont entamer une campagne de destruction. S’ils étaient intelligents, ils feraient au moins semblant de ne pas lui prêter attention. Comme d’habitude, ils vont tout faire à l’envers.

 

Accueil / La Gazette de Côte d'Or

 

14:41 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

04/02/2011

Cantonales 2011

 

 

4 FÉVRIER 2011

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Élections cantonales des 20 et 27 mars 2011

Canton de Sens Sud-Est

 

 

« Suite à l’élection de Marine Le Pen à la tête du Front national, la vie politique française est bousculée. Les élections cantonales représenteront un sondage grandeur nature sur le poids des partis politiques. Le Front national entend faire du canton de Sens Sud-Est l’emblème de cette poussée avec la possibilité d’avoir un élu. Edouard Ferrand et Maria De Kinderen représenteront le FN. Les thèmes abordés seront :

 

Un niveau de délinquance insupportable,

La Bourgogne livrée au communautarisme,

La préférence nationale en matière d’emplois et de logements ».

 

 

Candidat : Edouard Ferrand

45 ans (né le 25 avril 1965), marié, 5 enfants

 

Mandats :

Président du groupe FN au Conseil régional de Bourgogne

Ancien conseiller municipal de Sens

(2001/2008)

 

Fonctions au Front national :

 

Élu au Comité Central

Nommé Membre du Bureau Politique par Marine Le Pen

Secrétaire régional du Front national de Bourgogne

Secrétaire départemental du Front national de l'Yonne

 

Première adhésion au FN : 1984

 

Diplôme : Docteur en Science Politique de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

 

Contacts : Adresse courrier : BP 311 89103 Sens cedex
- Téléphone : 03 86 31 04 79 
- Fax : 03 86 31 02 19 
- 06 15 77 36 18 – Adresse courriel : edouard.ferrand@free.fr - site internet : http://fn-bourgogne.hautetfort.com/

 

Suppléante : Maria De Kinderen

Assistante familiale en retraite, 7 enfants

 

Pour rappel :

 

Aux élections cantonales de mars 2004, Edouard Ferrand et Maria De Kinderen ont réalisé sur le canton de Sens Sud-Est 23,80 % au premier tour et se sont maintenus dans une triangulaire au second tour avec 21,72 %.

 

10:36 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

29/01/2011

Le Bien public dimanche 23 janvier 2011

 

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ÉDOUARD FERRAND. PATRON DU FRONT NATIONAL EN BOURGOGNE ET ÉLU AU CONSEIL RÉGIONAL.

L’élection de Marine Le Pen : « un séisme politique »

Partisan de Marine Le Pen, Édouard Ferrand en appelle au rassemblement. Photo archives A. F.

 

L’élection de Marine Le Pen va-t-elle impliquer des changements au sein des régions ?

« C’est un renouvellement générationnel. Marine Le Pen incarne un véritable besoin de changement dans la vie politique française, là où les partis politiques traditionnels n’ont pas su rénover leurs structures et leurs discours. Marine, personne ne l’attendait. Parce que tout le monde pensait que personne ne pourrait succéder à Jean-Marie Le Pen. Et Marine a réussi un tour de force assez incroyable, dans un parti qui est masculin. Elle incarne donc la nouvelle génération de jeunes qui veulent rétablir les principes mêmes de la République : la lutte contre le communautarisme et le respect de la loi de 1905 ; le respect de notre souveraineté, financière ou nationale ; et une volonté d’en finir avec l’insécurité. Les Français ont envie d’une nouvelle ère et Marine a quelque chose à dire ; elle incarne une rupture. Avec son arrivée aussi bien au Front national que sur la scène politique, on peut parler d’un séisme politique. »

A propos de « rupture », certains militants de Côte-d’Or, n’appréciant pas l’élection de Marine Le Pen, menaceraient de quitter le FN...

«Oui... J’ai vu votre article (lire notre édition de mardi)... D’abord, je suis surpris car en tant que secrétaire régional, je n’ai pas reçu de plaintes... Mais bon, qu’il y ait des personnes déçues par la défaite de Bruno Gollnisch, c’est normal. Moi, ce que je leur réponds, c’est qu’aujourd’hui, il n’y a plus de pro-Gollnisch ou de pro-Marine ; il y a un Front national, présidé par Marine Le Pen. Il me paraît évident qu’à un an de l’élection présidentielle, on a besoin de tout le monde. Qu’ils soient bien assurés que Marine ne va pas dilapider l’héritage. Bien au contraire : on a une chance unique de pouvoir aujourd’hui, plus qu’être présent au second tour, gagner l’élection présidentielle. Parce que Marine, en ce moment, est sur une vague, qui ne s’arrêtera pas. C’est pour ça que tous nos amis, il faut qu’ils se rangent derrière Marine, ils peuvent lui faire confiance, elle ne lâchera aucun des fondamentaux. »

Avant la présidentielle, il y a les cantonales. Y aura-t-il des candidats FN dans chaque canton ?

« Nous allons présenter 86 candidats dans les 86 cantons renouvelables de Bourgogne. Donc, en Côte-d’Or, il y aura un candidat dans chacun des cantons. »

Rémy Boursot, secrétaire départemental, a laissé entendre qu’il n’y aurait peut-être pas de candidat dans chacun des cantons renouvelables...

«Pour des raisons financières, on voulait privilégier certains cantons, là où on était sûr de passer et d’être remboursés. Mais nous avons reçu aujourd’hui du bureau politique de nouvelles consignes qui sont de présenter des candidats partout. »

Quels sont les cantons où vous voyez le Front national passer la barre des 12,5 % ?

« Le canton de Saint-Jean-de-Losne par exemple. Et je pense qu’il y aura aussi des surprises dans d’autres cantons. Mais ce que je voudrais dire par rapport à ça, c’est que l’UMP voudrait faire de l’anti-lepénisme. En décembre dernier, ils ont trouvé le moyen, dans la réforme des collectivités territoriales, de passer sous silence la transformation des dispositions électorales. Pour être présent au 2 e tour, on est passé de 10 % à 12,5 % des inscrits. Ça, c’est la première arme électoraliste que veut utiliser l’UMP ; ce qui va, certes, affaiblir nos candidats. Mais s’ils veulent donner la présidence du Sénat en septembre prochain au PS, ils ne peuvent pas faire mieux. Parce qu’en voulant éliminer au second tour les candidats du Front national, ils vont également éliminer un bon nombre de candidats de l’UMP. »

Seriez-vous prêt à une alliance avec la droite pour qu’elle conserve le Département ?

« Non. C’est un non ferme et catégorique. Partout où nous le pourrons, nous maintiendrons nos candidats au second tour. On a longtemps pratiqué la politique de la main tendue, en proposant justement de faire des alliances. Aujourd’hui, le Front national ira seul sous ses couleurs. La droite a instauré un mode de scrutin qui nous a été défavorable aux régionales, et elle recommence pour les cantonales. Nous ne lui ferons aucun cadeau. »

Sur le thème de la sécurité, qu’est-ce qui vous différencie de la politique menée par le gouvernement ?

« En 2007, Sarkozy a voulu être élu avec les voix du Front national. Il a d’ailleurs bien réussi son coup. Mais il avait été auparavant ministre de l’Intérieur ; il a eu tous les moyens. Et la délinquance, il n’a jamais su l’endiguer. »

e.hasle@lebienpublic.fr
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20:27 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

FNJ à la pointe du combat !

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JEUNES, JOLIES ET LEPÉNISTES : LES MILITANTES DU FNJ VUES PAR GRAZIA

D’après un article du magazine hebdomadaire Grazia

Comme Marine, le FN, elles l’ont reçu en héritage. Leurs parents en étaient électeurs, adhérents ou responsables. Contrairement à la légende, ce ne sont ni déçues de l’UMP, ni de sympathisantes de gauche mais des enfants du Front. Comme Marine, toujours, elles en sont les nouveaux visages : il est loin le temps où le Front national de la jeunesse (FNJ) n’était qu’un repère de losers et de jeunes militaires.

Aujourd’hui, au Congrès du FN de Tours, place aux jolies filles, formées dans des ateliers «Comment répondre aux médias». Mais sous les fringues Zara et le rouge à lèvres, ce sont les idées lepenistes qu’on retrouve. Le problème de notre société ? «Les immigrés pauvres à qui on donne de l’argent au lieu de s’occuper des SDF français», répond Laura, 20 ans. «Les musulmans qui nous envahissent, imposent des produits hala dans les supermarchés et prient devant nous alors qu’ils ne sont que des invités ici.», ajoute Marine, 20 ans également. «Et les importations chinoises qui pullulent dans les magasins et remplacent les produits français.», renchérit Stéphanie, 21 ans. Parfois, elles s’emmêlent un peu, sans que cela ne semble les gêner. «Le problème avec l’Islam, c’est que notre pays est laïc : il faut respecter notre histoire, construisent autour de nos églises.», explique Laura, partisane d’une France catho-laïque. Et quand on demande à Stéphanie si, parmi les produit chinois qu’elle voudrait interdire, figurent aussi le robe-pull H&M qu’elle a sur le dos et ses bottines, elle répond : «Oui … Zut, les fringues seront plus chères du coup !»

Machine de guerre. Elles ont 20 ans mais chantent les vieux refrains du Front. Et pour cause : avant d’être investi par les pro-Marine, le FNJ était majoritairement favorable aux idées de Bruno Gollnisch – rassembler les courants d’extrême-droite en dénonçant le complot juif et l’immigration. Marine Le Pen, elle, a une nouvelle stratégie : s’engouffrer dans les boulevards ouverts par le gouvernement, s’en prendre à l’Islam, parler du chômage et du pouvoir d’achat pour aller chercher électeurs de droite et de gauche. D’ailleurs, ces jeunes femmes jurent toutes avoir «des amis de gauche», comme il y a dix ans tous, au FN, avaient «un ami arabe». Elles veulent se battre contre le chômage «sans interdire les licenciements» et pour le droit au logement «pour les Français», se défendent d’être fachos, font du socialisme «national», citent Jaurès et Rocard et affirment que «Mussolini et Hitler étaient d’extrême gauche». Qu’importe le discours pourvu qu’on ait les votes … car le 21 avril 2002, elles avaient 10 ans. Elles ont grandi avec la certitude qu’un jour leur candidat pouvait gagner et veulent faire du Front national «une machine de guerre pour arriver au pouvoir».

 

10:04 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Groupe FN en action à Dijon, séance des 24 et 25 janvier 2011

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JEUDI 27 JANVIER 2011

Conseil régional de Bourgogne : les élus FN vous défendent !

CLIQUEZ ICI pour retrouvez la dernière session plénière concernant le vote du budget primitif pour 2011 ainsi que les différentes interventions de nos 6 élus Front National siégeant au sein du conseil régional. 

 

10:00 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)