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12/09/2010

Hommage

 

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jeudi 9 septembre 2010

Des hommes comme des dieux

Le film de Xavier Beauvois pourrait être le récit d’un fait divers et l’enquête sur les responsables du meurtre des sept moines de Tibhirine. En réalité, c’est beaucoup plus que cela : un voyage vers les limites supérieures de l’humain, en ce point mystérieux où l’homme, s’oubliant lui-même devient un dieu.

Faire un film sur l’assassinat des sept moines du monastère Notre Dame de l’Atlas à Tibhirine, cela paraissait une gageure. Voilà un sujet exclusivement religieux, sans aucun suspense parce que l’on sait tous comment l’histoire se termine et où la vie quotidienne selon le rythme monastique laisse peu de place à l’action… Que restait-il alors à Xavier Beauvois ? L’image et la lumière. Ce film - grand prix du jury du Festival de Cannes - est d’abord un hommage rendu à la puissance de l’image. Image des paysages ; images de la vie quotidienne au Maghreb ; mais d’abord image des visages. Le casting a été d’une étonnante justesse. Je ne veux pas dire que les neuf hommes choisis ont tous les neuf une tête de moine. Il était facile pour Beauvois de tomber dans le documentaire et de céder à la facilité de la caricature. Mais ce qu’il filme ce n’est pas un événement (sur lequel d’ailleurs on n’a pas encore fait toute la lumière puisque l’on ne connaît pas avec certitude les commanditaires du massacre), c’est une aventure intérieure. Le cinéaste, on le sent traque longuement la lumière intérieure qui habite chacun de ces hommes. Ce qu’il nous montre, c’est avant tout cette lumière, que chacun porte en soi et qu’il passe sa vie à chercher. Après une première alerte en 1993, on peut dire que pendant trois ans les moines sont chacun devant leur propre mort. Autrefois on imaginait les ascètes, comme saint Jérôme ou sainte Madeleine, toujours un crâne humain à portée de la main. Eux n’ont pas besoin du crâne d’un autre. Leur vie, ils le savent, ne tient qu’à un fil. Ils ne peuvent, au milieu des travaux et des jours, que s’efforcer de ressembler au visage que Dieu dans son éternité leur a donné une fois pour toutes. Cette formule peut paraître emphatique… En réalité, au jour le jour, nous assistons à une quête, où chacun traverse sa peur et accepte petit à petit son destin, jusqu’au dernier repas, sommet iconographique du film, où la certitude de la mort offerte habite les moines. La caméra s’attarde sur eux, comme pour rendre plus éclatante la lumière de leurs visages. La musique du Lac des cygnes résonne dans le réfectoire comme une apothéose. Le temps a suspendu son vol. Selon l’amphibologie du titre de ce film, ces hommes sont devenus des dieux, libres de leur destin. Ils ont chacun consenti à leur fragilité d’homme. Ils l’ont offerte ce soir-là en une sorte d’offertoire muet. En surmontant la peur, ils ont transsubstantié leur destin pour en faire un destin de fils de Dieu, à l’image du Christ.
  
Deux personnages sont particulièrement mis en valeur : le Père Christian et le frère Luc. Ces deux personnages, tout devrait les séparer. L’un est un intellectuel qui parle arabe et qui est dévoré de curiosité face à l’islam. Prieur de la petite communauté, c’est le rejeton d’une famille d’aristocrates. Il a spontanément le sens et le goût du commandement. Il en impose, même au GIA. On sent qu’il vit à une certaine distance des autres. Il pourrait passer pour un mystique. L’autre est un plébéien, celui qui, en tant que médecin, soignant jusqu’à 150 personnes par jour, indifféremment des gens du peuple ou des terroristes, possède une profonde connaissance du cœur humain. Il est tellement pris par son métier, qu’il n’a pas eu le temps de devenir prêtre. Il ne prie pas à la chapelle avec les autres. Son cabinet est ouvert à toute demande. Ce n’est pas l’islam qui l’intéresse, ce sont les gens, quels qu’ils soient. On apprend qu’il a soigné des nazis pendant la guerre. Si différents soient-ils, ces deux personnages, Lambert Wilson, littéralement habité et Michael Lonsdale, qui trouve certainement à plus de 80 ans l’un de ses rôles les plus forts au cinéma, ont l’un et l’autre, dès le début de cette histoire, la même opinion. Il faut rester quoi qu’il en coûte. « Partir, c’est mourir » dit le frère Luc. « Notre vie est déjà donnée » répète simplement le Père Christian.
  
Ces deux hommes, chacun à leur manière, sont les modèles de la Communauté. Ils sont devenus des dieux. C’est ce qui leur donne l’autorité, l’aura, l’ascendant qui émane d’eux. Rien à voir avec un rapport de force. Le vieux frère Luc trouve le moyen de rabrouer l’un de ses ravisseurs parce qu’ils s’empare de médicaments réservés aux enfants. Quant au Père Christian, en 1993, il obtient du chef de bande du GIA qu’il quitte le monastère avec ses hommes en armes. Le vieux seigneur de la guerre, barbe en avant, mitraillette au poing, partira sans coup férir quand le Père Prieur lui aura expliqué que le Christ est le Prince de la paix. Christian de Chergé l’aura vaincu sans armes. 

C’est de cette autorité sans rapport de force que le spectateur gardera le souvenir – l’autorité de l’esprit qui fait les dieux. Curieux film que l’on présente comme donnant à voir « un christianisme gentil, humble et compréhensif », mais qui en même temps repose tout entier sur l’autorité tranquille de Luc et de Christian, deux géants antimodernes, qui ont eu la force, durant plusieurs années, de défier le terrorisme, l’islamisme et la prudence de ce monde, représentée par les responsables de l’administration et de la police locale. Ultime victoire des moines : personne n’ose revendiquer cet attentat sinistre, GIA et gouvernement algérien se renvoyant l’initiative des sept meurtres. Quant au film, il a été tourné au Maroc, l’Algérie refusant toujours de regarder en face ce monstrueux attentat.

 

18:51 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

11/09/2010

Bourgogne

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Grande réunion d'information avec :

 Marine Le Pen

Vice-présidente exécutive du Front national
Député Français au Parlement européen
Présidente du Groupe FN au conseil régional Nord/Pas de Calais
Conseiller municipal d’Hénin-Beaumont

Dans le cadre de sa tournée nationale pour la présidence du Front national

 

Samedi 18 septembre 2010


19 h 30 Dîner-débat à l’Hôtel MERCURE – 196 Avenue de l’Europe – 71100 CHALON-SUR-SAONE

Contact presse et organisation : Christiane Colas                                                            
Tél. : 06 12 84 64 64
Courriel : colas.guy2@wanadoo.fr

14:56 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

07/09/2010

Nouvelle campagne du Front National : " Sarkozy, la débâcle ! "

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20:23 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

03/09/2010

Edouard Ferrand interrogé par la Gazette de Côte d'Or

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LA GAZETTE : Est-ce vraiment une bonne chose pour le Front national que Nicolas Sarkozy ait tenu un discours sécuritaire cet été ?
Bien sûr ! Le chef de l’État nous fait une publicité formidable, et presque tous les jours.

Que voulez-vous dire ?
Nicolas Sarkozy a été ministre de l’Intérieur, il a été élu en mettant le paquet sur la sécurité – au moins dans son discours – et que s’est-il passé depuis ? L’insécurité progresse.

Pourtant, les chiffres affirment le contraire… D’accord, tout le monde a compris qu’ils sont bidons, mais c’était juste pour dire…
Les chiffres sont trafiqués. Comment peut-on lutter efficacement contre l’insécurité en réduisant les effectifs de police et de gendarmerie comme le fait Sarkozy ? Il tient un discours ferme, donne l’impression de donner un tour de vis sécuritaire, mais il ne va pas refaire le coup aux Français qui ont bien compris qu’il n’est que dans la communication et l’agitation !

En 2007, il avait pourtant siphonné une partie de l’électorat frontiste…
Oui, mais les résultats des dernières élections régionales en mars ont bien prouvé qu’on avait enterré le Front national un peu trop vite. Aujourd’hui, les intentions de vote en notre faveur oscillent entre 12 et 13 %, et nous sommes à presque deux ans du premier tour de l’élection présidentielle. Au train où vont les choses et comme il n’y a pas de raison pour que cela change, cela ne peut qu’augmenter. Il y a des Français qui sont sensibles au discours du Front national, car nous ne mentons pas. Cela fait plus de trente ans que Jean-Marie Le Pen dit que la situation concernant l’immigration et la délinquance est grave. Les faits ne font que lui donner raison. Nicolas Sarkozy ne prend que des mesurettes…

Attardons-nous sur le problème des Roms. Ils sont expulsés – avec une aide au retour – mais personne n’ignore qu’ils vont revenir, puisqu’ils sont européens. Que préconisez-vous face à cette situation ?
Personnellement, je suis favorable au renforcement du rôle de l’État dans le domaine de la défense et de la sécurité. Et avec l’Europe telle qu’elle est aujourd’hui, les contrôles aux frontières n’existent plus, alors qu’il faut les intensifier. Les Roms qui viennent en France ne travaillent pas et vivent dans des conditions très précaires, sont haïs dans leur pays d’origine. Mais ce sont à la Roumanie, à la Bulgarie et à la Hongrie de prendre en charge leurs ressortissants et de les intégrer…

Cela n’a pas empêché le gouvernement roumain de s’inquiéter des expulsions de Roms en dénonçant une dérive xénophobe en France. Alors qu’il les traite pire que des chiens…
La France ne peut plus, ne doit plus accueillir tout le monde. Moi, je discute avec pas mal de gens, et tous ne sont pas des électeurs ou même des sympathisants du Front national. Beaucoup me disent qu’ils en ont marre de cette immigration. Il n’y a qu’à écouter les conversations. Les Français en ont assez que des gens viennent s’installer dans leur pays pour toucher des aides, se faire soigner gratuitement aux frais des contribuables. N’y a-t-il pas assez de nos compatriotes en difficulté ? Il y a une poussée xénophobe en France. Mais l’État se montre trop laxiste en terme d’immigration et de sécurité, deux thèmes qui font partie des principales préoccupations des Français. Et moins il y a de policiers et de gendarmes, plus les gens vont être tentés de s’armer et de se défendre eux-mêmes.

Parmi les « mesurettes » de Sarko, figure la déchéance de la nationalité française pour les délinquants qui s’en prendraient par exemple à des policiers. La déchéance de la nationalité fait pourtant partie des revendications frontistes, non ?
Nous allons même plus loin, puisque dans certains cas, nous demandons qu’outre la déchéance de la nationalité, le délinquant soit condamné puis expulsé vers son pays d’origine. La nationalité française se mérite. Il y a également la solution de frapper les délinquants et leurs familles au niveau du portefeuille.

Le lien entre immigration et délinquance est-il aussi évident que Nicolas Sarkozy veut bien l’affirmer ?
Après la seconde guerre mondiale, l’immigration était essentiellement maghrébine. Pour ces gens – souvent kabyles ou berbères – seul le fait de travailler était important. Ils n’étaient pas islamisés, et ils respectaient notre pays. Les générations suivantes se sont parfois lancées dans le grand banditisme, et plus particulièrement le trafic de drogue. À Grenoble, la mort de ce braqueur abattu par la police – alors qu’il venait de tirer sur elle – a menacé toute cette économie souterraine. Les policiers sont devenus les rivaux de ces trafiquants. Il faut savoir qu’aujourd’hui, la principale mission des ex-Renseignements Généraux est de surveiller et d’infiltrer les cités. Les gens qui regardent la télévision ou lisent les journaux ne sont pas dupes : quand ils voient des émeutes dans les cités ou quand il y a des reportages sur des trafics de drogue, ils identifient sans problème qui sont les délinquants. Malgré les capuches…

La gauche a fait savoir qu’elle était en désaccord avec les mesures sécuritaires du chef de l’État…
Cela ne m’étonne pas. Sur les questions de sécurité et d’immigration, le Parti socialiste n’a par exemple jamais été crédible, à quelques exceptions près, comme Manuel Valls par exemple. Si nous en sommes là aujourd’hui, les socialistes ont une grosse part de responsabilité.

Croyez-vous en l’hypothèse plus ou moins  évoquée selon laquelle Nicolas Sarkozy réfléchirait à faire entrer Marine Le Pen au gouvernement ?
Mais je suis persuadé que Sarkozy n’attend que ça ! Mais pas elle… Elle sait très bien qu’entrer dans ce gouvernement signerait sa mort politique ! Elle est jeune, elle a du talent et elle peut aspirer à devenir un jour chef de l’État. Pourquoi irait-elle se perdre chez Sarkozy ?



16:59 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

12/08/2010

Rémy Boursot interrogé par Gazette Info

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Quelle est votre position vis-à-vis de la déchéance de la nationalité ?

J’ai d’abord une question à poser aux Français : tous les Français qui sont au chômage ceux qui travaillent, qui gagnent pas assez pour acheter de belles choses, qui ont peur de l’islamisation et qui baissent la tête en vue d’un immigré en djelaba ou d’une femme voilée, qu’attendent-ils de l’islamisation ? Cela revient à vivre un jour sans fin, cela fait trente ans que les mêmes personnes sont préoccupées par les mêmes choses. Tous les matins on ne parle que de l’immigration. C’est bien que cela préoccupe aussi bien l’activité politique, le gouvernement, et les citoyens. Je suis allé visiter notamment Auxerre et Châtillon-sur-Seine. Et bien la seule préoccupation c’est l’immigration.

Aujourd’hui Sarkozy parle d’une déchéance. C’est bien de tenter un acte de courage avant de partir en vacances avec son joli vélo payé par Madame Aubry. Aujourd’hui on voit bien que sur les questions de sécurité, l’UMP a trente-cinq ans de retard sur Le Pen. La déchéance de la nationalité, tout le monde sait très bien que c’est insuffisant.

Vous avez l'impression que Nicolas Sarkozy vous pique votre fond de commerce ?
Ce n’est pas nouveau, et ce n’est pas une impression. C’est une certitude. Il nous pique notre programme pour en faire des annonces. Il ne passera jamais à l’acte.

Vous pensez qu'il bluffe ?
L’UMP bluffe depuis trente ans. On pense qu’après Mitterrand et Chirac, c’est Sarkozy qui a la Palme d’Or. D’un côté, il nous parle de la déchéance de la nationalité, de l’autre, il supprime 12 000 postes de gendarmes. Cela ne nous fait pas rire. Cela ne fait rire que lui. Ce n’est pas rare, que des Français nous confient leur envie de nous voir au pouvoir. Ils aimeraient que nous fassions appliquer les lois. Ces mêmes Français voudraient se sentir bien dans leur pays, et que les immigrés respectent nos lois et notre culture, mais sans jamais voter FN. A l’heure actuelle, c’est le sentiment de tous, à part les idiots convertis et les jeunes femmes qui se laissent séduire et qui se retrouvent voilées et juste bonne à être un moule à enfants.

Si tout le monde partage vos convictions,qu'est ce qui empêche les gens de voter FN ?
C’est cette diabolisation qui a été faite sur Le Pen. Je suis un terrien pur, ma famille est à Chambolle depuis 1707, et lorsqu’on me dit que je suis un fasciste ou un raciste, je trouve cela aberrant. C’est cette étiquette complètement fausse qui empêche les gens de voter pour le Front National. Beaucoup de gens ne vont plus voter parce qu’ils sont déçus par le gouvernement.

12:21 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

08/08/2010

Chagny frappée par l'insécurité !

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Dans la nuit de jeudi à vendredi, les pompiers de Chagny et de Chalon sont intervenus pour circonscrire et éteindre deux incendies, vraisemblablement d'origine criminelle, à Chagny.


Sur la place du Théâtre, cinq voitures et un utilitaire ont été ravagés par les flammes.

Dans le même temps, vers 1h30, le porche du 17 rue de la Ferté s'était lui aussi embrasé. Deux personnes ont été évacuées, et les flammes ont pu être forte heureusement  maîtrisées, avant d'endommager le reste de l'immeuble. Seuls des dégâts matériels sont à déplorer.

La brigade de gendarmerie de Chagny a ouvert une enquête.

06/08/2010

Des policiers pris pour cible à Auxerre !

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Des policiers qui intervenaient dans une cité d’Auxerre ont essuyé des tirs d’arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi. Selon le syndicat policier Alliance, un homme de 29 ans originaire du quartier Sainte-Geneviève avait été interpellé mardi vers 16h après un refus d’obtempérer. Une dizaine de personnes dont certaines encagoulées et armées de pierres et de bâtons auraient alors tenté d’empêcher cette arrestation.

Vers 2h15 du matin, des fonctionnaires de la Brigade anticriminalité (BAC) qui patrouillaient dans ce quartier ont essuyé des tirs d’armes à feu. Des impacts ont été relevés sur un véhicule de patrouille.

Dans un communiqué, le syndicat policier se dit « consterné devant l’apathie et l’indifférence du directeur départemental de la sécurité publique de l’Yonne qui n’a pas jugé utile de se déplacer et de rencontrer les policiers victimes de ces violences » et « demande à l’administration centrale d’agir en conséquence ».
Une demi-compagnie de CRS a été dépêchée sur place pour sécuriser ce « quartier sensible ».

23:14 Écrit par La Vaire dans Actualités FN de l'Yonne | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2010

Ballade en Bourgogne

Grande fête régionale en Bourgogne

Les élus du Front national de Bourgogne invitent tous les militants de la région à participer à une grande fête dimanche 25 juillet 2010 au lac des Settons, Le lac de Settons, « les Cheutons » en bourguignon-orvandiau, est un lac artificiel de 367 hectares, alimenté principalement par les eaux de la Cure, et situé au cœur du parc naturel régionaldu Morvan dans la nièvre.

 

Cette journée familiale et amicale est offerte aux militants qui se sont investis durant la dernière campagne des régionales. Baignades, déjeuner et promenades au menu de cette belle journée. Renseignements et inscriptions : Marie-Christiane Colas 0612846464.

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09:11 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

23/06/2010

Equipe de France de football : Miroir d'une société décadente !

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Ainsi donc, l’équipe de France a perdu, et rentre à la maison. Au-delà de la première humeur, qui consiste à trouver grotesque ce feuilleton de quinze jours tissé de prétention, d’irrespect et d’incompétence sportive, à bien y réfléchir, on n’a guère envie de rire. Parce que ce qui suinte de ces trente morveux empreints de morgue, c’est le constat accablant d’une faillite... la nôtre.

J’écris : « l’équipe de France » et non « la France », comme dans un quelconque quotidien sportif. Pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit : un pays en faillite intellectuelle et morale a envoyé en Afrique du Sud une équipe à son image. Des autistes enfermés derrière des écouteurs, afin de se protéger de tout discours de bon sens. Des milliardaires qui considèrent que l’argent qu’ils gagnent leur confère une vraie valeur — et qui confondent, comme tant de gens qui prennent exemple au sommet du pouvoir, l’être et l’avoir. Des enfants gâtés, experts en bouderies. De petits caïds qui pensent que leur loi est la bonne, et réclament à grands cris l’élimination du « traître » qui a dénoncé leurs règlements de comptes sous la douche. Des analphabètes qui font lire leurs déclarations par leur entraîneur. Des mal élevés, pour qui l’insulte remplace le raisonnement — et, de temps en temps, le coup de boule. Dès 2006, nous étions au parfum.

Cela ne vous rappelle rien ? En haut, ce sont ces élites politiques calfeutrées derrière leur Rolex . En bas, ce sont les petites frappes de banlieue, dont la réussite sociale se mesure au nombre de décibels de la sono embarquée à bord de leur BMW : faire du bruit permet peut-être de camoufler le grand silence intérieur...

Source : MARIANNE

 

23:06 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

16/06/2010

Session du 14 Juin 2010

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Retrouvez la dernière session du conseil régional de Bourgogne du 14 Juin 2010 et les interventions de vos élus Front National ici même :

http://www.cr-bourgogne.fr/Videos,593