Français de l'étranger

La famille nationale n’a pas de frontières !

 

 

 

Ce 16 septembre à Bruxelles, travail et camaraderie étaient au rendez-vous des Français de l’étranger.

 

 

 

Venus des cinq continents et réunis par Édouard Ferrand dans le cadre des activités du groupe ENL (Europe des Nations et des Libertés) au Parlement européen, nos compatriotes établis hors de France ont pu échanger, confronter leurs expériences et émettre des propositions au cours du colloque « Français de l’étranger, un autre regard sur la France », clôturé par le discours de Marine Le Pen.

 

Les délégations ont ensuite assisté à la réunion du groupe ENL qui comprend désormais 39 députés issus de huit pays différents.

 

 

 

Avec l'Asie et le Moyen-Orient

 

Avec l'Espagne et la Belgique

 

Un cocktail avec Marine le Pen et des repas amicaux ont encadré cette journée de travail, permettant de resserrer les liens de tous en vue des prochaines échéances électorales.

 

 

 

De g. à d. : P. Miailhes, J.-F. Jalkh, G. Lebreton,
É. Ferrand, D. Martin, É. Miné, D. Martinet

 

Au cours de ce colloque et des diverses réunions qui l’ont ponctué, le constat fut en effet rendu que l’élection en 2017 de Marine Le Pen à la magistrature suprême de la République était seule à même d’assurer à nos compatriotes de l’étranger la fin des injustes discriminations dont ils sont victimes au seul prétexte qu’ils ne résident pas en France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au vu du succès de cette journée qui a rassemblé une cinquantaine de participants, Édouard Ferrand a porté un toast :

 

 

 

« La famille nationale n’a pas de frontières ! »

Edouard Ferrand et Christian Launay au Conseil régional

Interventions de Edouard Ferrand, conseillers régionaux de Bourgogne du Front National.

 

 

Ruralité

Toucy

Les militants du Front national conduits par Julien Odoul en force sur le marché de Toucy pour défendre la priorité nationale “stop immigration”

Samedi France 3 Bourgogne

Quel accueil pour les réfugiés?

Samedi 26 septembre, à 11h30, "La voix est libre" ouvre le débat sur la crise des réfugiés qui s'est accélérée depuis quelques semaines dans l'Union Européenne, incapable jusqu'alors de trouver une réponse commune face à l'afflux de migrants sur son territoire.

• Par Eric Sicaud
• Publié le 21/09/2015 | 16:31 , mis à jour le 22/09/2015 | 18:04

© Department for International Development/Kate Joseph

Comment accueillir 120.000 réfugiés qui relève du droit d'asile ?
C'est la question à laquelle l'Union Européenne tente de trouver une réponse commune cette semaine.
Les anciens pays de l'Est renâclent face à l'idée d'un système de répartition contraignant, alors que la chancelière allemande Angela Merkel s'est très vite prononcée en faveur de ces quotas.
Mardi 22 septembre, la présidence luxembourgeoise a annoncé que les 28 s'étaient mis d'accord à "une large majorité" pour répartir les 120.000 réfugiés en Europe. Mais, la République Tchèque, la Hongrie, la Roumanie et la Slovaquie ont voté contre et la Finlande s'est abstenue.

Un conseil européen est prévu mercredi 23 septembre 2015 sur la question, alors que le président français François Hollande a haussé le ton dimanche : "aucun pays" européen "ne peut s'exonérer" de cette répartition "des réfugiés relevant du droit d'asile" a-t-il déclaré en ajoutant : "ou alors, nous n'appartenons plus au même ensemble fondé sur des valeurs et des principes".

Faut-il accueillir ces Syriens et ces Irakiens qui fuient la guerre? Comment les accueillir correctement en France? Combien l'hexagone peut-il en prendre en charge? Où cela est-il possible? Qui peut aider ces réfugiés? Comment cela va-t-il se passer concrètement.

Autant de questions qui alimenteront le débat samedi 26 septembre à partir de 11h30 sur France 3 Bourgogne.
Plusieurs invités seront autour de la table :

- le député de Côte-d'Or Laurent Grandguillaume (PS)
- le maire de Chalon-sur-Saône Gilles Platret (LR)
- le maire de Nevers Denis Thuriot (SE)
- le député européen Edouard Ferrand (FN)