30/08/2015
Sortons du système Schengen !!!
HC Strache réagit au décès de clandestins.
Autriche. Suite au décès au Burgenland de plusieurs dizaines de clandestins cachés dans un camion venant de Hongrie, le président national du FPÖ Heinz-Christian Strache estime que si les véhicules étaient contrôlés aux frontières, cela ne serait pas arrivé. Il ajoute que les trafiquants d’êtres humains sont des assassins potentiels.
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29/08/2015
Sauvadet
Communiqué de presse
“Rentrée politique de Sauvadet :
François le cumulard de retour !”
François Sauvadet travaille t-il 48h sur 24 ? M. Sauvadet semble apparemment tirer profit de ses nombreuses responsabilités pour son fief comme pour lui-même et ses proches. Député, président du Conseil général de Côte d’or, président de la Communauté de communes de Vitteaux, 1er adjoint au maire de Vitteaux, François Sauvadet refait surface malgré un emploi du temps que l'on pourrait qualifier de saturé... Il manque au tableau de chasse de ce perpétuel candidat mais éphémère responsable la présidence du Conseil régional... François Sauvadet vient donc d’être investi tête de liste UDI/Les Républicains pour les élections régionales en Bourgogne/Franche-Comté de décembre prochain. Battu en 2010 à la région Bourgogne, il avait pourtant refusé d’y siéger, démissionnant une fois élu... Pourquoi ce centriste, également vice-président de l’UDI, revient-il à la charge ? Est-ce parce qu’il veut faire oublier le doublement de la dette du département de la Côte d'Or, s'élevant pour le budget 2015 à 313 millions d'euros ? Sans parler de la hausse des impôts… M. Sauvadet, c'est courage fuyons ! Une seule solution : soulager M. Sauvadet d'un mandat supplémentaire pour lui permettre d'en assurer au moins un à temps complet...
Edouard Ferrand
Membre du Bureau politique du Front national
Conseiller régional de Bourgogne
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28/08/2015
Brachay
Samedi 29 août rentrée politique de Marine à Brachay Haute-Marne. RDV 12h00 dans ce village de France qui votre à 80% FN !
19:00 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
Pouilly-en-Auxois
Depuis le mois de janvier, un centre accueillant 60 migrants a été installé à Pouilly-en-Auxois (Côte-d'Or). Une cohabitation inédite. Ces demandeurs d'asile ont fui la guerre. Leur statut ne les autorise pas à travailler en France. Ils reçoivent donc de l'État 11,50 euros pour se nourrir. "Pas facile pour le maire de le justifier face à cette femme au chômage. Elle est menacée d'expulsion", note la journaliste de France 2.
Six mois après, les esprits se sont apaisés
Un sentiment d'injustice accentué par le fait que les migrants sont logés gratuitement, à quelques kilomètres. Le bâtiment est géré par l'État. Ce sont d'anciens logements de gendarmes. Depuis leur arrivée, aucun problème de délinquance supplémentaire n'a été enregistré. Pourtant, certains disent "avoir très peur". Le maire, sans étiquette, n'a pas demandé que ce centre soit installé sur sa commune. La décision est venue de Paris. Mais c'est bien à lui qu'on a adressé des lettres d'insultes. Aujourd'hui, six mois après, les esprits se sont apaisés.
18:48 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
23/08/2015
Pourquoi il faut voter FN
Merci Sarkozy et merci Hollande... Y'en a marre !!!
20:59 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2015
Mieux vaut en rire que d'en pleurer !!!
Communiqué de presse d'Edouard Ferrand, membre du Bureau politique du Front national, conseiller régional de l'Yonne
"SARKOZY DANS L’YONNE OU LES PROMENADES DE L’AMNESIQUE"
En se rendant dans l’Yonne et plus particulièrement en Puisaye, Nicolas Sarkozy voudrait faire croire aux Icaunnais, comme à tous les Français, à quelques semaines de l’ouverture de la chasse, qu’il est toujours un perdreau de l’année… Sarkozy, bonimenteur absolu, voudrait aujourd’hui faire croire qu’il peut apporter des solutions à la crise du monde agricole alors que c’est la politique qu’il a conduite, conjuguée à celle de Hollande, qui en est très largement à l’origine. La fin de la politique de soutien des cours des produits agricoles, le démantèlement des quotas, l’ouverture sans limites au libre-échangisme mondial, l’européisme absolu, l’invention de l’eco-taxe, c’est Nicolas Sarkozy ! Rappelons également que la fermeture de la gendarmerie de Saint-Sauveur en Puisaye comme des centaines d’autres en France, c’est Nicolas Sarkozy ! Florian Philippot était d'ailleurs venu la dénoncer. Que Nicolas Sarkozy continue ses vacances à 45.000 euros la semaine au milieu de ses amis du showbiz mais qu’il s’abstienne de venir parader sur les terres de la France des oubliés qui souffre, elle, quotidiennement.
12:03 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
17/08/2015
Un modèle d'homme : "Faire le bien, éviter le mal, c'est ça le paradis."
« Voilà ce que vous allez devenir, messieurs, si vous vous laissez manipuler par les collectivistes, les théoriciens, les savants… Bientôt on vous fabriquera des hommes dans des flacons, sur commande, spécialisés dans l’œuf et dûment conditionnés dès l’enfance… Déjà on retire à vos femmes leur rôle maternel, déjà on les contraint à des travaux cycliques, déjà on limite votre travail à un ou deux gestes, toujours les mêmes ; déjà on vous abrutit par la drogue, la politique et la spécialisation pour que vous soyez mûrs et fin prêts pour la banalisation. »
Henri Vincenot
Henri Vincenot est le grand homme de la Bourgogne contemporaine. Il naît à Dijon en 1912 et meurt à Dijon en 1985. Petits-fils d'un maréchal-ferrant de Châteauneuf-en-Auxois qui devient ensuite mécanicien de locomotive à vapeur, fils de Charles Vincenot, dessinateur et peintre au talent académique qui est dessinateur-projeteur au P.L.M., Henri passe son enfance dans la région de Châteauneuf. Diplômé de H.E.C., il fait son service militaire au Maroc, puis suit aux Beaux-Arts de Dijon des cours de dessin et de sculpture.
Entré au chemin de fer à la gare de Louhans, il se fait remarquer par un article sur l'expédition des volailles bressanes qu'il illustre lui-même et devient journaliste à la Vie du Rail, où il fait aussi les dessins illustrant ses articles.
Il rédige des ouvrages historiques comme La vie quotidienne des paysans bourguignons au temps de Lamartine (1976), et des romans comme Le Pape des escargots ou la Billebaude, chroniques terriennes où Vincenot manifeste une nostalgie de la vie rustique d'autrefois. Il défend notre terroir, les traditions, l'oeuvre du christianisme monastique, l'art de vivre à la française, la culture nationale... Un modèle dont chaque bourguignon devrait s'inspirer.
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16/08/2015
Une visite ?
Yrouerre est un village de 200 habitants environ situé à 7 km de Tonnerre. Il ne reste rien du château si ce n'est l'orangerie qui mérite votre passage. Devenue mairie, l'orangerie est ce qui reste de l'ancien château.
Au 17 ème siècle, il y avait des orangers à Yrouerre, que l'on abritait soigneusement l'hiver.
Ses arcades à pilastres ainsi que ses jolis pots-à-feu en font un bel ensemble.
Cette orangerie est inscrite aux M.H depuis le 20 octobre 1971.
Outre ses fonctions de mairie, cet édifice accueille tous les étés des expositions temporaires.
La Maison Forte d’Yrouerre, détruite sous Charles le Téméraire, a été remplacée par un manoir fortifié au 15e siècle. Au 18e siècle, sur ce même emplacement, fut construit un troisième château qui se dégradera progressivement de 1957 à 1987, date de sa totale disparition.
L’orangerie a été bâtie en même temps que ce troisième édifice, au milieu du 18e siècle. Située à l’arrière du château disparu, près de l’église, elle s’étend sur 39 mètres pour une largeur et une hauteur de 8 mètres. Les faces est, ouest et nord sont aveugles. La façade sud, constituée de onze arcades égales permettait un bon ensoleillement propice à la culture d’orangers, d’ananas et autres plantes délicates.
Chaque arcade présente une clef sculptée. Sur l’arcade centrale est représentée une corbeille de roses.
Les trois arcades centrales sont surmontées d’un fronton qui aurait dû être sculpté mais le manque d’argent, probablement, n’a pas permis la réalisation de ce projet.
"Au sommet du fronton, un acrotère, sorte de piédestal, portant une pierre d’assez grande taille sculptée en forme de fruit, probablement une poire, symbolise les vergers voisins et les arbres fruitiers qu’abritaient l’orangerie." (Yrouerre hier et aujourd’hui, fascicule d’informations diffusé par la mairie.)
Numéro du petit patrimoine : 89486_2
L'orangerie devenue mairie d'Yrouerre
Restes de l'ancien château milieu du XIXème sicècle
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15/08/2015
Une visite ?
Idée de ballade ? La ferme fortifiée de Pisy dans l'avallonnais.
Pour l'historien Victor Petit : « Le château de Pizy est, après la forteresse féodale de Semur, l'édifice le plus important qui soit resté dans nos contrées ». Il représente pour lui « un ensemble architectural militaire remarquable ».
Le château fort est l'un des édifices les plus importants de la région après la forteresse de Semur-en-Auxois.
La maison-forte est composée de trois grands bâtiments en U qui donnent sur la cour intérieure et son puits, fermée sur le quatrième côté par une longue muraille crénelée, et à laquelle on accède par une avant-cour. Un fossé, peu profond, jadis rempli d'eau renforçait les défenses sur deux côtés. Ces diverses constructions, souvent remaniées, constituaient une vaste demeure féodale qui permettait de mettre en sécurité hommes et troupeaux, lorsque les villages alentours étaient menacés de pillage. Les différents corps de logis donnent une idée assez exacte de ce que fut une maison-forte au Moyen Âge à travers la grande façade de l'est et ses contreforts, la courtine au sud qui ferme la cour, les tourelles d'escaliers, la chapelle (milieu du XIII° siècle), fenêtres à croisillons, meurtrières du chemin de ronde. La muraille crénelée au midi était bordée et défendue par un fossé rempli d'eau. La vaste cour, délimitée par les trois bâtiments placés en retour d'équerre, permettait de réunir les vassaux retrayants. On accédait aux étages par des escaliers en pierre logés dans les tourelles.
Au premier étage, on trouve les habitations du seigneur, de sa famille et de sa suite. De grandes cheminées de pierre distribuaient une maigre chaleur. Au troisième étage se trouvait le chemin de ronde, construit sur l'épaisseur même des murs. Au rez-de-chaussée, les salles étaient destinées aux vassaux retrayants et à la garnison : les provisions étaient entassées dans les caves. La chapelle du château par ses dimensions nous laisse entrevoir l'importance du nombre de gens vivant dans l'enceinte de la fortification. Les guerres du XVe siècle anéantirent le château et Eudes de Ragny le fit presque entièrement reconstruire en 1480. De cette époque, datent les armoiries de la Chambre Rouge. Au moment de la Ligue, ce site fut très convoité par les deux partis en présence. Pisy appartint aux XVIIe et XVIIIe siècles aux Brulart de Genlis, aux d'Harcourt, et aux Estiennot.
19:45 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Foll démission
Communiqué de Presse de Edouard Ferrand et Philippe Loiseau, députés européens membres de la commission pour l’agriculture et le développement rural.
"Le gouvernement achève la filière porcine !"
Comme le dénonçait dès le départ le Front National, l’accord sur le prix du porc vendu à grand renfort de communication par le gouvernement, n’en est pas un. Le refus de deux grands groupes agro-industriels français de s’y plier ne fait que confirmer ce que nous expliquions : il n’y a pas la moindre base juridique à cet accord qui ne s’attaque à aucune des causes profondes de la terrible crise que vivent les éleveurs depuis un an. Pendant que le gouvernement exige que les prix payés par les industriels soient plus élevés, il laisse ces derniers à la merci de la concurrence déloyale des Allemands et des Espagnols qui peuvent continuer à mettre le marché français en coupe réglée. Que ce soit sous Sarkozy ou sous Hollande, aucune action n’a été entreprise pour lutter contre le dumping social allemand qui, par le biais de la directive européenne sur le détachement des travailleurs, emploie de la main d’oeuvre originaire d’Europe centrale à des salaires de misère. En moins de 10 ans, l’Allemagne s’est ainsi emparée d’une partie croissante du marché français tout en détruisant les capacités de production de ses concurrents. La cotation quotidienne allemande s’est ainsi imposée au détriment de celle du Marché du porc breton de Plérin, un acteur incontournable que le gouvernement, par cynisme autant que par lâcheté, condamne à disparaître. Le modèle allemand a, par la suite, fait école dans l’UE, en particulier en Espagne, où les industriels ont profité de la crise pour écraser les salaires. L’année passée, ce pays a pu accroître sa production de porc de 8%, et ce entre autre au détriment de la France. Quand le gouvernement socialiste multiplie les écrans de fumée pour mieux masquer l’abandon programmé des filières d’élevage françaises, les élus de l’ex-UMP n’ont qu’un seul mot en bouche : baisser les charges et le prix du travail. Ils oublient cependant d’expliquer aux Français que cela reviendrait à faire travailler les salariés des abattoirs et des élevages pour moins de 5 euros de l’heure. Le Front National refuse à la fois d’abandonner les filière d’élevage françaises et de sacrifier les salaires des travailleurs français en les remplaçant par de la main d’oeuvre étrangère sous-payée. Il entend pour cela rompre avec les politiques européennes assassines, afin de protéger agriculteurs et salariés contre la concurrence déloyale tout en assurant la souveraineté alimentaire de notre pays.
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