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02/06/2015

A la Fédération reconnaissante !

Une dizaine de membres de la Fédération de l'Yonne du Front national ont rendu un dernier hommage à notre regretté Marius Bosset hier à Piffonds. Nous saluons ce grand patriote qui a servi toute sa vie pour le bien commun. Dans une église pleine, l'assemblée s'est souvenue que ce sont de grands hommes, quelques fois inconnus, qui ont fait la France. Une gerbe de la Fédération a été déposée en votre nom. Un verre de l'amitié a été servi par la famille dans une salle portant son nom.

 

Edouard Ferrand

Membre du bureau politique

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13:22 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Non au Traité constitutionnel

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Edouard Ferrand chef de la Délégation FN/RBM au Parlement européen, Dominique Martin député français au Parlement europée, Karim Ouchikh président du SIEL et Gaëtan Dussaussaye directeur national du FNJ, ont participé, en compagnie d'une cinquante de jeunes, à une manifestation place de la Nation à Paris le vendredi 29 mai pour les 10 ans de la victoire du peuple français sur le Traité constitutionnel établissant une constitution à l'Europe.

13:11 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

28/05/2015

Mise au point


Claude Thion, ancien Conseiller Départemental de Villeneuve-sur-Yonne communique :

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"Elu en mars dernier aux fonctions de Conseiller Départemental sur le canton de VILLENEUVE-SUR-YONNE, j'ai souhaité me désister de mon mandat électif constatant, à mon plus grand regret, que mes attributions professionnelles ainsi que ma vie familiale, étaient incompatibles à la bonne conduite de la mission qui m'avait été confiée par les électeurs du canton. Elu dans un canton où tout restait à faire en termes de représentation, assistance et réseau, mes seules soirées et week-ends n'auraient pas suffi à honorer la lourde responsabilité confiée par les Villeneuviens et les Villeneuviennes, même au détriment de ma santé (surmenage). J'ai pu lire, ici et là dans certains médias, des analyses pour le moins frelatées de mon désistement, bien souvent orientées (à dessein !?) contre le mouvement politique que je représentais et il ne m'est plus possible de voir instrumentaliser ma décision à des fins purement politiciennes... Alors, NON, ma démission n'est pas dictée par un différend avec le mouvement du Front national, NON, elle n'est pas plus dictée par une soi-disante réversion trop conséquente de mon indemnité d'élu au parti... ou que sais-je encore !
Elle n'a été dictée que par un chevauchement de calendriers et d'attributions trop conséquente dans un canton où tout restait à faire, rien de plus... D'ailleurs, je reste membre du Front national, seul mouvement à porter les valeurs qui sont les miennes..."

19:27 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Marius Bosset

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 Chers amis,

Nous perdons un grand Monsieur... J'ai la tristesse de vous annoncer la mort de Marius Bosset. Premier adhérent du Front national de l'Yonne, il connut Jean-Marie Le Pen à la tribune du mouvement poujadiste en 1956 à Villeneuve-sur-Yonne. Fidèle dans tous les combats, il était l'âme de notre fédération. Descendant d'une famille de paysans du Loiret, il fit souche à Piffonds à côté de Courtenay. Exproprié par la construction de l'autoroute en 1972, il dût se reconvertir comme artisan-taxi. De jour comme de nuit, il parcourait la France au service des personnes en difficultés. Sa fidèle épouse Jeanine restait à la ferme pour élever leurs trois enfants. Modèle de père, modèle d'époux, il servait le bien commun. Il entra dans la résistance à l'âge de 16 dans un maquis de Joigny. Il fut décoré pour ses faits de gloire de la Médaille de la résistance, Médaille du combattant, Médaille du combattant volontaire, Médaille du combattant volontaire de la résistance. La guerre terminée, après les champs, il participait au conseil municipal :  22 ans élu de Piffonds notamment 12 ans comme maire-adjoint. Il fut également 22 ans pompier volontaire dans sa commune. Quatre fois candidats pour Jean-Marie Le Pen, membre du Bureau départemental, Flamme d'honneur du Front national, Marius Bosset fut un grand patriote, un authentique chrétien et un français passionné. Ses obsèques auront lieu lundi 1er juin à 14h30 en l'église de Piffonds. Il sera ensuite inhumé au cimetière aux côtés de son épouse. Une collation sera servie après salle "Marius Bosset”.
J’adresse à ses enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants, en mon nom et en celui du Front national, nos plus sincères condoléances et l’assurance de mon affection sincère.

Requiescat in pace !

Edouard Ferrand
Membre du Bureau politique du Front national

19:22 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

Un an au Parlement Européen, avec E. Ferrand, G. Annemans et D. Martin

18:31 Écrit par La Vaire dans Actualités FN | Lien permanent | Commentaires (0)

Vendredi 29 mai 2015 colloque à Paris

il y a 1 ans la France disait : NON !

17:06 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

27/05/2015

Europe

Au Parlement européen, l’extrême droite est en mal d’influence

Un an après les élections européennes qui avaient vu sa percée, l’extrême droite ne s’est pas unie dans un groupe politique.

26/5/15 - La Croix
 
 
agrandirMarine Le Pen, Louis Alliot, Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen au parlement européen, le 19 ma...
Marine Le Pen, Louis Alliot, Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen au parlement européen, le 19 ma...

FREDERICK FLORIN/AFP

Marine Le Pen, Louis Alliot, Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen au parlement européen, le 19 mai 2015.

 

FREDERICK FLORIN/AFP

Marine Le Pen, Louis Alliot, Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen au parlement européen, le 19 mai 2015.
Avec cet article

Elle n’exerce pas l’influence censée lui permettre de démanteler de l’intérieur cette Europe qu’elle accuse de tous les maux.

S’ils ne pèsent pas sur le travail législatif, le Front national et ses alliés jouent toutefois un rôle dans la configuration des majorités.

 

Édouard Ferrand appartient à la catégorie peu nombreuse des eurodéputés qui personnalisent leur bureau de Strasbourg. Assis à sa table de travail, le chef de la délégation du Front national (FN) au Parlement européen fait face à une statuette de Jeanne d’Arc. Sur un mur à sa gauche, un drapeau du duché de Bourgogne évoque sa région natale. Un décor auquel doit faire écho, vingt minutes plus tard, l’intervention de Marine Le Pen dans l’hémicycle.

Nous sommes le 20 mai. Les eurodéputés, réunis à Strasbourg pour la session plénière mensuelle (le reste des activités se déroule à Bruxelles), réagissent au plan du commissaire chargé de l’immigration, qui propose d’instaurer une clé de répartition des demandeurs d’asile dans les pays de l’Union européenne (UE). « Une nouvelle atteinte à la souveraineté de notre pays », s’indigne la présidente du FN devant ses pairs.

Au même moment, Édouard Ferrand déroule sa stratégie sur le sujet dans le brouhaha d’un couloir. « Nous allons faire une motion de censure pour condamner l’initiative des quotas », prévient-il. Devant récolter des signatures afin que le texte soit soumis au vote, l’ex-conseiller municipal de Sens compte sur les engagements des alliés du FN à Strasbourg : le Parti de la liberté autrichien (FPÖ), son homonyme néerlandais (PVV) ou les Flamands du Vlaams Belang.

Batailler pour nouer des alliances

L’élu doute de convaincre les Italiens de la Ligue du Nord, en général de solides partenaires. « Ils sont pour le principe des quotas. C’est compréhensible, ils ont tellement de demandeurs d’asile chez eux », explique-t-il. Dans tous les cas, il lui faudra batailler hors de son premier cercle, qui réunit au mieux 36 élus, pour nouer des alliances lui permettant d’atteindre le seuil requis de 76. Peut-être en vain.

Un an après les élections européennes, la prédiction ne s’est pas réalisée : malgré sa nette progression, l’extrême droite n’exerce pas l’influence censée lui permettre de démanteler de l’intérieur cette Europe qu’elle accable de tous les maux. Le 25 mai 2014, celle-ci avait vu ses rangs gonfler grâce aux performances du FN, du FPÖ autrichien, ou du parti grec Aube dorée.

Débarrassés de longue date de l’étiquette « extrême droite », d’autres partis venaient aussi renforcer la droite populiste et euro­sceptique ou europhobe dans l’assemblée : le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (Ukip) ou le Parti du peuple danois.

Assiduité et présence massive

Leurs élus font souvent preuve d’une assiduité dans les commissions parlementaires et en séance plénière (où l’absence entraîne une amputation du salaire), qui prive leurs détracteurs de l’habituel argument d’amateurisme. « Il travaille et intervient toujours à bon escient », dit un membre de la commission des affaires juridiques au sujet d’un élu du FN de la même instance.

Avec 23 élus, le parti de Marine Le Pen peut figurer dans les 22 commissions parlementaires. Sa présence massive lui permet aussi d’étendre le champ de ses interventions, de la chasse à la baleine à l’Exposition universelle à Milan, et, ainsi, de se normaliser.

Mais la portée d’un tel travail est limitée. « Le FN a installé une chambre d’écho au Parlement et laboure les procédures pour exister, mais il n’a aucune influence », résume le Français Jean-Marie Cavada, de l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe.

L’échec de la création d’un groupe politique

Le FN et ses alliés autrichiens, italiens, belges et néerlandais n’ont pas rempli les critères requis – 25 élus d’au moins 7 nationalités – pour former un groupe politique, garant de ressources et de légitimité.

Par souci d’image, des camarades potentiels – les démocrates suédois par exemple – ont préféré se rapprocher des indépendantistes britanniques. D’autres, comme le parti néonazi Aube dorée, ont été considérés comme infréquentables. Plus de 40 élus d’extrême droite siègent ainsi dans la catégorie hétérogène des « non-inscrits ».

« L’extrême droite conduit au raidissement du discours »

Ne pouvant peser sur les textes, ces derniers exercent néanmoins une influence. Voulant éviter d’offrir aux populistes de droite et à l’extrême droite un rôle d’arbitre que, grâce à leur nombre, ces derniers pourraient jouer plus que les autres, les conservateurs du Parti populaire européen (PPE) et les Socialistes et démocrates (SD, ex-PSE) optent le plus souvent pour une alliance. « Cela accrédite l’expression de Marine Le Pen sur l’“UMPS”, regrette l’eurodéputé belge Philippe Lamberts, des Verts. Forçant l’union sacrée, qui est une union de dupes pour les socialistes, l’extrême droite conduit au raidissement du discours et affaiblit le débat. »

Ainsi l’extrême droite occupe-t-elle le champ de sujets nouveaux pour elle. À plusieurs reprises, des élus du FN sont venus dire leur approbation à Philippe Lamberts, grand avocat de la transparence financière, qui raconte : « Encore ce matin, dans l’ascenseur, l’un d’eux m’a dit, “Je suis complètement d’accord avec toi sur la séparation des métiers bancaires.” »

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Une droite populiste éclatée

Avec 23 sièges (contre 3 entre 2009 et 2014), le FN est le premier parti français au Parlement européen (750 élus). D’autres formations d’extrême droite ont progressé en 2014, comme le FPÖ autrichien, passé de 2 à 4 élus.

La palette de la droite populiste et eurosceptique ou europhobe est large, allant de l’élu néonazi allemand à Alternative für Deutschland. Cet ensemble hétérogène compte deux groupes politiques : l’Europe de la liberté et de la démocratie directe (46 élus), autour de l’Ukip, et les Conservateurs et réformistes européens (73 élus), autour des conservateurs britanniques.

Ayant réuni une alliance informelle de 31 eurodéputés originaires de cinq pays, le FN n’appartient pas à un groupe politique. Une telle structure permet de bénéficier de temps de parole, de déposer des amendements ou de percevoir des ressources supplémentaires.

En mars, une enquête a été ouverte au Parlement européen et à Paris au sujet de l’emploi de vingt assistants d’eurodéputés du FN soupçonnés de travailler pour le parti.

MARIANNE MEUNIER (à Strasbourg)

09:40 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

la culture de l'excuse

Communiqué de presse

"Soutien aux agents pénitencières en Bourgogne"

Deux cents agents pénitencières des prisons bourguignonnes manifestaient, ce 21 mai 2015, pour dénoncer une surpopulation carcérale et des conditions de travail qui sont devenues intolérables, voire insupportables, ne permettant plus d’exercer dans de bonnes conditions.

Toujours pas de moyens supplémentaires pour garantir leur sécurité et un environnement professionnel stable et sécurisé. Ceci, alors que l’Insee vient de publier les comptes des Administrations publiques pour 2014, en nous apprenant que la France est devenue le pays le plus dépensier de l’OCDE, avec une dépense publique qui vient d’atteindre un taux de 57,5 % du PIB. Un Etat dépensier qui, par contre, n’hésite pas à rogner depuis des années sur les budgets des services régaliens, dont le Ministère de la Justice, pour en faire une variable d’ajustement de son propre budget.

Des agents pénitencières victimes de l’idéalisme d’une Gauche bien-pensante. Un rejet de la prison, façon Madame TAUBIRA, qui s’est construit à travers un discours victimaire et bien trop simpliste qui condamne la prison. L’idéalisme de ChristineTaubira tend à culpabiliser la société qui serait fautive de tout, en victimisant ceux qui se trouvent derrière les barreaux. Avec, en moyenne, 1 surveillant pour 80 détenus, et une politique de victimisation qui porte aussi ses fruits dans le milieu carcéral, les détenus n’hésitent plus à multiplier les plaintes contre des surveillants déjà bien exposés aux contraintes psychosociales qu’ils subissent au quotidien, s'accompagnant de son lot d'insultes, de bravades et autres menaces.

 

Philippe CHERIN

Président de l'Union Patriotique des Elus de Bourgogne

Président du groupe FN/RBM au Conseil municipal de Chenôvemetier_surveillant.jpg

09:36 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

25/05/2015

Les 1 an de la délégation FN/RBM au Parlement européen

17:23 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)

23/05/2015

Mosquée à Sens ?

Sens : Nouvelle étape pour la construction de la mosquée

Aujourd'hui, 21 mai, se tenait au tribunal Administratif de Dijon une audience concernant la cession de parcelle de la commune de Sens en vue de l'implantation d'une nouvelle structure alliant centre culturel et cultuel. L'affaire a été mise en délibéré, la décision sera rendue dans 4 à 6 semaines.

  • F.L.
  • Publié le 21/05/2015 | 17:20, mis à jour le 21/05/2015 | 17:20
Edouard Ferrand (archives)

Site France TV infos

 

Edouard Ferrand


L'audience de ce jour, jeudi 21 mai, opposait les parties telles que le responsable du Front National dans l'Yonne, Edouard Ferrand, face à la commune de Sens.
Edouard Ferrand avait toujours contesté la décision du conseil municipal de Sens d'avoir vendu la parcelle de la zone de Sainte-Béate pour y autoriser la construction d'un centre culturel et cultuel.
Il a initié une pétition , "condamnant" la décision du conseil municipal pour l'implantation d'une mosquée.

Les conclusions du rapporteur public semblent être favorables à la ville, en rejetant la requête de M.Ferrand.

14:50 Écrit par La Vaire | Lien permanent | Commentaires (0)