Bourgogne : un résultat historique !

Communiqué de presse d'Édouard Ferrand chef de la délégation FN au parlement européen, ancien conseiller régional de Bourgogne.


J'adresse tout d'abord mes vives félicitations à Sophie Montel pour ce résultat historique du mouvement national et je remercie les électeurs qui nous ont apporté leur suffrage. Avec 24 élus, le Front national fait plus que doubler son nombre de conseillers régionaux.

Ce résultat, aussi élevé qu'historique fait du Front National la seule force d'opposition au système UMPS ultra-libéral et immigrationniste. A Dijon comme ailleurs, les élus de Marine Le Pen continueront leurs actions pour une véritable restauration des valeurs nationales.

Dimanche, mobilisation générale !

Communiqué de presse d’Edouard Ferrand
Conseiller régional de Bourgogne
Député français au parlement européen

Bourgogne : le seul vote utile, c'est le vote Sophie Montel !

Un succès historique ! En plaçant très largement en tête la liste FN /RBM conduite par Sophie Montel, les Bourguignons ont clairement exprimé leur souhait de changement radical. Changement radical à l'égard de la gestion calamiteuse de la gauche et de la droite, changement radical à l’égard de la politique de préférence aux migrants plutôt qu'à nos campagnes, changement radical par rapport à la folle politique d’austérité de l’Union européenne. Les patriotes doivent se rassembler pour le second tour des élections régionales. Nous avons une grosse réserve de voix. Hier un formidable espoir est né, dimanche à nous la victoire pour une région bleu blanc rouge avec Sophie Montel !

France 3 Bourgogne

Edouard Ferrand (FN) : "Je crois que nous avons une grosse réserve de voix"

Edouard Ferrand, conseiller régional FN sortant mais qui ne se représente pas, a salué sur notre plateau la dynamique de son parti qu'il estime convertir au deuxième tour.

• Par Christophe Tarrisse
• Publié le 06/12/2015 | 21:22

 

Edouard Ferrand, conseiller régional de l’Yonne

 

Une dynamique. Voilà le leitmotiv d'Edouard Ferrand, l'un ténors du Front National en Bourgogne. Le député européen a déclaré sur le plateau de France 3 Bourgogne : "je crois que nous avons une grosse réserve de voix, notre dynamique peut nous conduire à une grande surprise dimanche prochain."

Le Front National, d'après nos estimations, arriverait en tête autour des 34% devant les listes de François Sauvadet et Marie-Guite Dufay. Ferrand poursuit : "C'est décevant pour la droite, Sauvadet s'écroule, si la gauche résiste un peu, elle est distancée. La dynamique est favorable au Front National".

Le conseiller régional sortant voit même plus loin :"nous avons recueilli en Bourgogne 24% lors des Européennes, 26% lors des Départementales, aujourd'hui on convainc 1 bourguignon sur 3, j'espère qu'aux présidentielles, on attirera un électeur sur 2".

Régionales 2015

Voter : un acte de responsabilité

L'obligation de voter n'existe pas en France ; est-ce pour autant facultatif ? Notre vote n'a de sens moral que parce qu'il symbolise notre intérêt pour la Nation, ce que j'entreprends pour le bien public, ce que je veux et désire pour mon pays. Cet acte n'a valeur morale que si mon vote est un acte singulier, fort, dans une chaîne d'actes, de choix, qui le préparent et l'accompagnent. Voter me renvoie à la responsabilité que nous exerçons envers les autres dans ma famille, ma profession, ma commune et au-delà mon pays. Notre responsabilité et notre devoir envers la France sont immenses. Voter, c’est aimer la France.

 

Edouard Ferrand

On doit gagner !!!

France 3

Elections régionales : Sophie Montel, l'inconnue qui pourrait faire triompher le FN en Bourgogne-Franche-Comté

La candidate, déjà députée européenne et conseillère régionale, espère créer la surprise en Bourgogne-Franche-Comté.

Sophie Montel, la candidate du FN en Bourgogne-Franche-Comté, lors d'une conférence de presse le 28 octobre 2015 à Besançon (Doubs). (SEBASTIEN BOZON / AFP)

Envoyé spécial à Delle (Territoire de Belfort), Ilan Caro

Mis à jour le 03/12/2015 | 07:03 , publié le 03/12/2015 | 07:03

"Le FN, je suis tombée dedans quand j'étais petite… Mes parents votaient déjà FN !" confie-t-elle dans un éclat de rire. Inconnue du grand public, Sophie Montel, 46 ans, possède pourtant un impressionnant CV politique. Celle qui rêve de s'emparer de la présidence de la région Bourgogne-Franche-Comté compte derrière elle vingt années de mandats électoraux. Tous obtenus sous les couleurs du Front national, parti auquel elle adhère dès 1987, alors qu'elle n'a que 17 ans.

Conseillère municipale à Besançon (Doubs) de 1995 à 2001, puis à Montbéliard, conseillère régionale de Franche-Comté depuis 1998, députée européenne depuis 2014… La liste aurait pu encore s'allonger début 2015, si elle n'avait pas échoué, de peu, à ravir à la gauche le siège de député laissé vacant par Pierre Moscovici, nommé commissaire européen.

Des sondages qui s'envolent

Cette boulimie de combats électoraux, qui lui est parfois reprochée, lui a au moins permis de se faire un nom sur ces terres du pays de Montbéliard en proie à la désindustrialisation, si propice au vote FN. Et ce n'est peut-être pas terminé : un sondage BVA paru samedi dernier a fait l'effet d'une bombe, en la créditant de 35% des voix au second tour, à égalité avec le candidat de la droite et du centre, François Sauvadet. "Comment ne pas y croire devant un tel sondage ?" salive-t-elle, "pas surprise" par cette envolée. "Depuis 2012, notre dynamique électorale est continue, tant en Bourgogne qu'en Franche-Comté."

Ce mardi matin, dans le petit centre-ville de Delle (Territoire de Belfort), la candidate distribue ses tracts, aidée par une quinzaine de militants. Pendant sa déambulation, elle assure s'être préparée à l'éventualité de remporter le scrutin.

Je ne dis pas que ça ne va pas être impressionnant, mais je suis tout de même une vieille routière du conseil régional !

Sophie Montel

à francetv info

Sous la grisaille, la candidate, accompagnée de Florian Philippot, venu lui prêter main-forte, pousse les portes des commerces des rues quasi désertes. Face à un marchand de fruits et légumes contraint de mettre la clé sous la porte, "écrasé par les charges", Sophie Montel compatit, mais n'a guère de solutions pour lui : "Pas la compétence de la région."

 

Florian Philippot et Sophie Montel, le 1er décembre à Delle (Territoire de Belfort). (SEBASTIEN BOZON / AFP)

 

Une amoureuse des animaux

Elle retrouve sa spontanéité dans un salon de toilettage pour chiens. "J'ai cinq chats, deux lapins et un lévrier", raconte-t-elle fièrement à la toiletteuse. "En plus de mon mari et de mes deux filles !" Un amour pour les animaux que l'intéressée revendique régulièrement, notamment sur Twitter.

On en vient enfin à la véritable raison de sa venue à Delle : ce fief socialiste, jadis dirigé par l'ancien président de l'Assemblée nationale Raymond Forni, s'apprête à accueillir 130 demandeurs d'asile dans un ancien foyer de jeunes travailleurs, situé sur les hauteurs de la commune. "Le conseil régional a voté une subvention aux communes de 1 000 euros par place d'hébergement créé. Quand on sait qu'on a en France neuf millions de pauvres et cinq millions de chômeurs..." Elle promet, si elle gagne, de revenir sur cette décision "scandaleuse".

"A 200% sur la ligne fixée par Marine"

Après les attentats, en Bourgogne-Franche-Comté comme dans toutes les autres régions, le FN enfonce le clou sur ses thèmes de prédilection : l'insécurité et l'immigration. Prudente, Sophie Montel évite tout commentaire qui pourrait être interprété comme un dérapage. "Je suis à 200% sur la ligne fixée par Marine Le Pen." Loyale jusqu'au bout des ongles, Sophie Montel dit n'appartenir à aucun clan au sein du FN. Et défend sa présidente avec autant de ferveur qu'elle soutenait, il y a vingt ans, son président, Jean-Marie Le Pen.

Vendée avec Pascal Gannat

Le Front national au chevet de l'agriculture
Pays de la Loire - 01 Décembre

 

 

 

Hier, à Pouzauges, Pascal Gannat, le candidat du Front national aux élections régionales a détaillé son programme.
Pascal Gannat, la tête de liste du Front national aux élections régionales, est venu à la rencontre des agriculteurs du bocage, dans une ferme de Pouzauges, hier.

« J'ai accepté d'accueillir ce rendez-vous chez moi, afin d'entendre les propositions du Front national en faveur de notre profession », indique l'agriculteur, Jacques Rauturier. Une poignée d'éleveurs et cultivateurs a participé aux échanges et en a profité pour exposer ses difficultés : incertitude sur la nouvelle Politique agricole commune (Pac), prix trop bas, etc.

Pascal Gannat a fait le déplacement avec un petit comité trié sur le volet. Notamment Brigitte Neveux, sa colistière et tête de liste de l'équipe vendéenne. Édouard Ferrand, député européen frontiste spécialisé sur les sujets agricoles, et Leif Blanc, délégué national du FN à l'agriculture, ont apporté leur parole de spécialiste.

« On veut alerter les agriculteurs sur les dangers de l'Union européenne. Elle soutient les nouveaux pays entrants, ceux-là même qui appliquent un vrai dumping tarifaire et social », indique Édouard Ferrand.

Le député se dit « très mobilisé sur le Traité transatlantique qui vise à supprimer les appellations d'origine contrôlée. » Il craint « l'abandon de la traçabilité au profit d'un logo « EU » ». « Il faut que la qualité française puisse continuer à être mise en avant, estime-t-il. Nous ne voulons pas d'OGM, ni de viande clonée. »

Que peut faire la Région pour soutenir l'agriculture des Pays de la Loire ? Pascal Gannat pense qu'elle a un rôle à jouer pour encourager la consommation locale. Il veut créer « un label Produit en Pays de la Loire ».

Il souhaite aussi « aider les entreprises qui créent des circuits courts. Il s'agit de faire en sorte que les producteurs soient à égalité avec leurs acheteurs pour négocier. »

Autre axe de travail : la restauration collective gérée par les collectivités (cantines des écoles, des maisons de retraite, etc.) Le candidat veut les inciter « à utiliser un maximum de produits locaux » dans leurs menus.

PNR SCHENGEN FRONTEX : ça suffit !!!

Les attentats de Paris révèlent l'échec de la loi sur le renseignement, l’incapacité de l’Europe à gérer les frontières intérieures et à stopper le flux des migrants. Gilles Lebreton, député au parlement européen, Philip Claeys, ancien parlementaire du Vlaams Belang, et Edouard Ferrand évoquent le naufrage sécuritaire européen :

Sophie Montel en tête !!!

Sondage exclusif 1er tour : Sophie Montel (FN) passe devant la liste LR-UDI et s’empare de la première place

28/11/2015 à 05:09, actualisé à 13:59 Vu 557 fois

 

 

 

On connaissait déjà le tiercé d’arrivée. Mais apparemment, c’était dans le désordre. Un sondage précédent de BVA (ER du 23 octobre) avait donné François Sauvadet et sa liste LR-UDI en tête devant celles du FN, menée par Sophie Montel, puis du PS, conduite par Marie-Guite Dufay. Si la présidente sortante de Franche-Comté ferme toujours la marche du trio des favoris, conséquence d’une dispersion des candidatures de gauche (qui n’hypothèque en rien ses chances de l’emporter le 13 décembre), une inversion s’est en revanche produite chez les deux premiers. Mme Montel caracole à 30 % désormais, devant M. Sauvadet, tombé à 26 %, et Mme Dufay, à 19 %. L’estimation en faveur de la candidate PS est inchangée. C’est M. Sauvadet qui a perdu 5 % dans cet intervalle d’un mois dont 4 % ont été engrangés par Mme Montel.

Le seuil fatidique des 5 %

Également stable, d’une enquête à l’autre, la liste de Nathalie Vermorel, Front de Gauche, MRC et Nouvelle Donne, est à 8,5 %. Avec 7 %, EELV et Cécile Prudhomme passent la barre des 5 %, ce seuil fatidique qui permet d’être remboursé par l’État des dépenses de campagne et surtout de fusionner avec d’autres candidats au second tour. La liste de l’Alliance écologiste indépendante, de Julien Gonzalez, qui aurait pu contrarier l’ambition de Mme Prudhomme, ne recueille que 0,5 % des intentions de votes.

Candidatures de témoignage

On imaginait la liste centriste du candidat MoDem Christophe Grudler mieux située. Elle serait à 3,5 % seulement, selon l’institut de sondages. À peine plus haut que celle de Maxime Thiébaut, pour Debout la France, à 3 %. Claire Rocher pour Lutte Ouvrière, d’une part, et Charles-Henri Gallois avec l’Union populaire républicaine, d’autre part, sont à 1,5 %. Des scores faibles mais qui correspondent à ceux de candidatures que l’opinion juge être « de témoignage ». Enfin, Lutte Ouvrière, Front de Gauche, Parti socialiste, LR-UDI et UPR bénéficient de davantage d’intentions de votes en Franche-Comté qu’en Bourgogne. C’est le contraire pour EELV, le MoDem, Debout la France et le Front national.

Jean-Pierre TENOUX